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seul,
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J;t qui'
doute qtie
la
m~ndi~ite
' ce.
r~d6~ ~·
.'
table .er.nemf des rations 'et
·d~s
loix'
n~
fYf
d~tniite
'par .de simples
r~gles
de
'poli~e
econo..
mique
?'
Qt;i
d~uie
que le
·travail
de
·l'homn1e '
d,a'ns
~a
vigueur ne pi1t le
n9urrir
da.psSf'
vieillesse
,?
Puisqtre
la
m~n~i5ite
est
.rresque,
la
meme chez 'Jes peuples les' plus ri(:hes
9
'et
parmi les nations ·les plus pauvres ,
<;e
n'.e::s~
doqc pas clans
l'in~galire
des fortunes
qu'l.l
fout
en
~hercher
la veritable 'cause ' elle
e$t
t~ut'e
eniiere
clan~ l'impr~voyance
de l'avenir,
, dans la corruption des mO?urs, et
sqr~touf
dans
<;ette '
rn~somm~tion
contintielle san$
remplacement,
qui'
changeroit
tout~s
Jes
terre~
en
dCse,.-·r~
;
s~
fa
na~ur~' 'n'~toh
p<ls plus
sage
que
Vhomm~
;••
" M.'
La
Farge appelle son projet.
tont.in1
,
.iiiagere
~t
d'a171-orti'sse1J7.ent,
Je
vou~rois
qµ'il l'eut
appelle ' cais'se de_s
epilrg~es
' caisses
des .
p<iuvres, ou
~ais~e
de bienfaisaqce;
~e
titre
atrroit
mieu~ '
r
fait . c;onnoi'tre
qll
pau vre
selj
)
.bes0ins , et au
ri~he
ses devoirs.
As~ei
99
'
fortun'e ont
.ete
amoncel6es
par
l'avaric;e, eq
aeCUmlJ.la11t .des
inter~tS
,
~n
e<;hangeant
def
p_dv<!.t10ns
pol.Jr·a~s j.-ic;he$i~s
1
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faut appren,s.
TPm,
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