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'I
~ho-ses~
~
dü prix du
pain
et
de
cehii de li
vjande.'
_/
.
'
Óccup'or1s-11ous
,pr~mierement
du
pain
,
ét
-puis le
r ~st@ viendra. Le
pain
est l'essentiel;
avcc
du pain
,
si
11QUS som~es
raisÓnnábles
,
npu~
.aurons
un
pei1
-de
patience.
.
,.
1
Ori'
n·e peut changer
sur-le-champ
tout
·ce.,
qu'il
y
a changer· : s'il en
·ér.oit
autrement ,–
nom
n€
serions
pas des homme$; nous
seri01is ·
1
d.~s an ges.
Il faut
I
deux choses pour ·1e pain
d'abord
qu'il
y
en ait , ensu
'i.te~u'il
ne
soit
pas
trop_
cher.:
, Eh
!
bien , mes bons
a~is ,
j'ai -une
,granqe
nouvelle
a
vous donn-er : c'est que le
bled
ne mar1que
pas ·
au in.oment
011
je
vous
écris;
il
y
en.
a ci'nqual).te et une mille charges
dans
la
ville,
ee
qui donne du -pain
pour
trois
mois
€t
dÓuze ·jours. C~la, j.e vous le dis , est une
..
grande nouvelle, parce qu'il est
bien
ju~té que
le bon
peuple .ait
du pain.
·
....
C@ n'est pas tout, mes bons
ariús :·
outté
les ·5
1
,ooo
charges -
d~ bled que déja
nous
avons;
vos admin istrat eurs
et
les
négo~ians
en atten–
'd-ent
ene
ore .une grande quant-ité ; il
doit
en ,
/
1-'
\.