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·c.
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1:. ,
Jes _
petits
moyens
compromettroient
inutile~
.. rilent la dign~té de l'assembléé. ,
-
~, fü~aminons qu'elles
sont ·
les
causes_
des
désordres de Paris ; la
0
premiere et
la
princi–
pale ,
c'est
qu'aucune autorité reconnue
n'y
· /existe,-
c'e~t
que le dissentin{ent le plus
marqué
s'établit entre les districts
et
les électeqrs.Ceux–
c1
ont saisi les -rennés
de
l'admini-sttation de
,
~
la ville sans consentem'ent fqrmel de
la1
com-
mnne
~
mais autorisés par _un péril émine1i:t.
A présent qu'ils
ne peuvent pas méconnoitr~
le
ptin-cipe
,
q.u~ils
sentent q1~e Ce COil_§ ente–
!Dent est absolument nécessaire, ils ont encore
, ' ·c1€s assemb\ées; ils
~nt
délib,fré, s.i, nonobs- ,
J.
tant le
'v-reu
formé -par
les
dístric.ts,,de
crier -
-une
administration no'uv e11e,
ils ne resteroient'.
p as revetus
du
pouvoh-
qu'ils exercent; ils ont
enfin établi dans -le~ir.
sein , un
co1nité
pe.rma... ,
' nent'
qui n'a
point
de rapport direct
ave~ les
distr icts
~
dont
l'objet in co¡_¡testa bte est le
bien
public,
dont
la
.cohtinüa_tion
a
été
necessitée
par
les
circonstances,
m~is
dont
le fruit est devenu
nul,
párc~
que les
-créateurs .
et les créés ne sont
que de
simples
particuliers
1
sans
délé·gation,
s'ans
confiance , et
que
.le~1r
pouvoir a
cessé.
au moment
·911
leúr
mission d'éle~t~ur
a.
é.téconsom;né..~
"º
(
...
,
_.....,
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