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f
t'est'
ltii
q-ui
a -proclamé
tou'te~ les véritéá·im~
portantes;
c'est lui qui a
propa~
la
fomiere ;
c'est··
lui
qui a·' instruit l~s nation's ; .
c'est lui
1
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qui , .
pour
el1es,
a-
plaidé devant
le~·
Rois;;
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e1~für,
c'dst ,
l~i
qtú
·a
vo'Ulu,
.pressé-,
com1.
mandé ·
notre
révo'iut~on.
D'abord
:ril
l'a
.vou-
\_
1
<o
1
/ loit
universene et
douce ;
ses
premien
vreux
í
... - auroi~11t
été
rei11p
lis ,,,
si .
les d,espotes
q~µ- ,
, · .,. , ·, , ro1~nés,
a~xquels
il
ne dédaign~
pas
de
par-
\,
'
1
, ler -,
avoient .
su mettre
a
proflt ses bienfai–
santes
lec;?ns· ; ·
mais 1€s- despáte~ ~ne
sont
Pª~ .
des· homnres.
.,.
,.
"
Mirabea1;1· est· arr-ivé dans ·
la
ca
pi
tale- :··
.
,' hatops-nous
de
l'y
sufrre.
lci
Ja ,scene
chahg.e;
Íe premier acteut·sera 'le 111érne~ ·-
,
.
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'1,
. ' Les
ét~~S·
gfn@raux .·.sont -
d!visés
en
trois
· ;/·
sections.. Cette divisíon ,
cst .
absurde et révol~
1
tante; car en§n ·les trói~ ,section~ ne
c;loivént
ex!!dmer qu'une
setl1e-
·yoldnté : 1a .volonté ·
nationale. '
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et
áe.
guerre,
p~o-non~é·e
cfaas
la
séa-nce
dü
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