Jo.,
·_ PANDO'RE.
SCENÉ
II.
PROMETHÉE,
LES
TIT~Ns
ENCELADE
ET
TYPHON,
etc.
ENCELADE
et
TYPH ON,
ENFANT·de l,a Terre et des C::ieux,
. Tes pla.intes et tes cris ont emu ce bocage.
Parle, que} est celui des dieux
Qui t'ose fairé quelque outrage?
PROM
É
T H
É
E,
en montrant
Pandore~
Jupiter est jaloux de mon divin ouvrage;
Il craint que cet obje~ n'ait un jour 4es {\Utels;
'11
ne peut sans courroux voir la terre embellie ;·
Jupiter
a
Pandare a refusé la vie
!
Il
rend me.s chagr-ins _ét~rnels.
TYPHON.
Jupiter? quoi
!
c'esl foi qui formerait nos Ames?
L'Üsurpateur des cieux, peut etre. notte appui
?:
Non, je. sens,que la vje et ses d,ivine,s. tlammes
Ne viennent point de.Iui,.
EN
e
EL AD E,
en
montrant Typhon son
&ere.
'Nous avons pour aieux -fa'Nuit et le Tarta1:e.
Invoquons l'é'ternelle Nuit;
Elle est avant le j~ur qui luit :–
Que l'Olympe c~d·e au
Ténii.re.'XYPHON,
Que l'enfor, qqe ~es di,eux répa.ndent p~mi nous·
Le germe éternel de la vie :.
·Que Jupiter en frémi~se d'e1;.vie ,,
Et qu'il ~.oi~ vain.ement jalofu,