filat ures qui fournissent
toutes
du
tres-beau
61. –
Dans ces derniers temps , on
y
a introdt~it les
machines
a
file:r, suivant les
méthod.esangloises,.
11
existe
:t.rne fabrique de piqué
aGernnicht
1
ainsi
qu'a
,v
ernstadtl,
Tupadl,
Prepp, Senflen;berg,
Kommothau et Lessig . Les fahriq1{es du pays
doivent
a-
la bonté de ces
machines, d;
pouvoir
produire toutes les especes
de
toiles
<l e
coton.
I/on
y
compte
5,830
m ét~ers -
et
8,764_
fahricans
.occupés
a
ce genr e de -fravail. ,Les
principale~
manufactures
"de
ce genre se,
voient dans
le$
' -eercles de Csaslau ·et de Kaurczim; il en existe
encore
de
semblables dans les cercles
'de
Leutrn,e-.
ritz,
de
Saatz et
de Bunzlau.
Toutes ces
m'anu '....
factures ont pris
iin,
n ¿ uvean l ustre
d epuis qu'on
a
empeché l'introduction
des
mar cha~dises
étran..,.
-
1
.
geres,
~t
q:u'on a favorisé
T exportation
de
celles
du
pays,
en
diminuant les im,póts qu ' e1lespayoien~
:auparavani aux douanes des frontieres.
Ápres - les mánufactures dont nous venons d e
p~rler,
les plus important es sont ct lles
de
glaces
et
de verreries : elles rapportent
a
ce
pays "
d es
son;unes considéráhles.
On ·
compte
er1
Boheme
-p;re~·de
quatre--vin g· ts gra!1des verreries et
plus
de
dix'""."huit cents fabricans. La pl npar t de ces manü–
:factures ont
é
1
té
établies aup r es d es grandes
fo rets ,
et
il
s'en trouve dans
presque
tons les cercles.
La plupart
des.
c'ristaux d e Boheme pas-sent dans
Ú.s
-entrepots
du
cerde de
Leutm,eritz;
lors.qu'ib