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LA Pl\UDE..
11 faut me ,croire :
il
m'aime
a
Ia
fureur ;
11
est au vif piqué de ma rigueur;
Son vain caquet m'étourdi,t et m'assomme ;
Et
je
ne veux jamais rev~ir
e.ethomme.
:BAB.TOLIN.
Mais cependant de bon sens il parlait.
Ji)ORFISE.
Né
croyez rien de tout ce qu'il ~isait.
:BARTOLIN.
Soit; mais
il
faut, pour fi'ni.r nos affaires,
Prendre en ce lieu les choses nécessaires.
DO
B.
F Is
E ,
d'un
ton caressant,
Que faites-vous? arretez-vous' : hola!
N'entrez done point da-ns ce cabinet-la .
EAB.TOLIN.
C_omment? pourquoi
2
DO
B.
F I
s
E ,.
ap;es
avoir r~vé.
Du
me'me e·spri-t poussée,
J'ai comme vous eu, mon cher, en pensée. . . .
De mettre
ici
nos pap+ers en
état... .
J'ai fait veni1• notre vieil avoca t... .
Nous consultions; une grande faiblcsse
L'a pris soud-ain.
:BARTOLÍN.
C'est exces de vie.illesse.
C O LETTE.
On
va donner
au
bon petit vieilla~d
Un....
E
ART
9,LIN.
Oui,
j'entends.
/