DES COLONIES ANGLOISES.
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fequins, les piafhes
&
les efpeces
frappees au coin d'Ahgleterre.
' Les Virginiens tirent d'Angle..
terre les etoffes dont ils s'habil–
lent ; les ufienfi.les dont ils
fu
fervent' tant clans leur menage
qu'aux champs; de la tlincaille–
rie , des
f
elles , des btides , de l<t
dln~nderie.
Quoiqu'ils derrieu..
rent au milieu des bois,
la cul–
ture de
leurs plantations
a
telle–
ment
fixe leur attention qu'ils
font
obliges de faire
venir
auffi d'Eu–
rope des chaifes, des fauteuils
&
d'ititres
petits -JDeuble's de
bois
de
toU'te
efpece qui"fe travai1lent au
tour.
En
u11
mot,
il
n'y
a point
de
fabrique dans la Grande-Ere- -
tagne
qui
1~e%u:r
envbi't
quelques
fortes de marchandifes.
La con–
fommation
qri>'!Is
en
font
;fournit
de l'e:mploi
,~
tin grantl
nombre
d'ouvriers
de tette
iae.
II.
Le
Maryland a
pour borrres
Du Ma·
Xij