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Dan. le cas pré ent il n'y a done pas de quoi nou étonner de la
pré ence du erp nt, qui est pri dan le en indiqué.
.Avec on nom en umérien commence la ju tiftcation de ce qui
a été dit:
sir
ou
$ir
e t, dan cette langue, serpent , de meme que
.,irn en a yri en
12
º
9 ;
lumier e dit en sumérien
$ÍI'
ou
sir,
de sort e
que ce ont de mots parfaitement homophone .
1210
Ensuit la po–
siti on meme du reptile, quoique tJ·es-variée, offre au i de preuve
dan le meme sens. P our caprioieux et rare que soit le de in ele
la oouleuvre, il e t touj oW' entouré
el
detL\'. lignes oourbe parallele
et, en plu , a dans chaque image quelque cho e de caractéristique
qui r évele la lumiere. Ain i , dans la figm·e
1211
il a dan la parti
upérieure du corps deux gros e raie verticaJe parnJlele tre -bien
(Figure no. 6)
marquée ; et on sait déj a qu'aü1si se repré ent
nombr delL'I::
lan l'écriture aroha'ique. Le meme éoaille du orp ont capri–
cieu ement repré entées et ordinairement ont interrompuc par d
figure formées de deux ou troi cercle concentriques avec un point
central , et cell e -Ja , au nombre de quatre, bien de foi ont une
di po iti on en forme de croix.
Il ·ne m'e t pa possible de faire l
'ana.lye de toute le coqu.ilJc
avec des erpent gravé tant pow· l ur nombre, que pour leur
de in qui d'habitude e t rudim ntaire et comme abréviation d\ m
t.ype vulga.ire t parfaitement comrn par le·
111ow11cls-b11ilcler
;
au i j e
choisi celui qui ui t.
12 1 2
(Figw·e no. 7.)
Il a le quatre figW'in s circulaires di posée en croix , et en
plu un des groupe éca ilJ eux a la figure d'tm rectangle de !'aire
d d ux ca rrés et sw· leurs deu:x coté verUcaux trois point cha un.
J e croi qu'ain i e t bien
pécifi~
on cara tere lumineux en rapport
av e la tempete, autant par la croix, par le cerole concentrique
de figm·ine que par les ix poü1t clu rectangle, qui incliquent
Raman.
Le meme aju tement de écailles n'est pas, a mon avis, i capri–
ci ux qu 'i] le parait a pr m.iere vue, mais il obéit au propo
el
re–
produ.ire un signe pécial relatif a feu. En effet , que le leotcu r
compare un g roupe d'éoaille , o'est-a-dire un lreilJage circonscrit par
m1e double ligue, aveo le treillage qu'a aussi dan es aile;; l'oi ea.u
de la. tempete de haicl a dont j o m·oo .uperai plus en avant, et il
verra a merveilleuse re embl ance.
" " Holme , línnina LXII.
1 " 2
Holmes, h\ mina LXIIT, fi gura 2, p¡\O'.
2~)2.