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NIOLLUSQUES.
Jacologistes aient été
pen~ant
si longtemps dans le
doute, sur la position de celle-ci, dans-ces Mollusques.
Le manteau et la coquille qui le recouvre, sont déhor–
dés de toates parts et d 'une maniere considérable par
le pied (pl.
27,
fig .
1,
et fig.
2,
J(,
Í().
La te e, située
en dessus · et en avant, est tres-déprimée; elle est un
peu
éc~ancrée
sur la ligne médiane et présente, sur
les cótés ,
d~ux
tentacules coniques,
fe~dus
extérieu–
rement dans toute leur longueur. Les yeux sont placés
en <
leda.nset
a
la base de ces tentacules ... La fente qui
parcourt ces memes organes en dehors , aboutit pos–
térieurement
a
une petite cavité infundibuliforme dont
le bord est légerement saillant, et qui est garnie inté–
rieurement de petits feuillets tres-minces et tres-serrés ,·
disposés comme des rayons autour de la partie cen–
trale ( fig.
1
et
2,
n
) .
La bouche n'est pas située
a
la
partie antérieure et inférieure de la tete, comme on
pourrait le croire au premier abord; cet orífice est
disposé d 'une maniere fort singulie1:e dans les
Orn–
hrelles. En avant de la tete, le pied présente, sur la
ligne médiane, une échancrure large et profonde qu i
contourne son bord antérieur et qui se prolonge'
dan~
une certaine étendue, sur sa face inférieure; c'est
au fond de cette échancrure, et :par c01Íséquent- sous
le pied, que se trouve la bouche, au sommet d'une
saillie, en forme de petite trompe (fig.
3,
b).
Des cótés
de cell e-ci, partent deu ' feuillets membraneux
<]Ui
se
prolongent jusqu'au hord antérieur
du
piecl , et
que
l'
on
peut
regarder commc des Lenta ules buccaux,
i1
l'cxemplc de M. de
Blainvillc
( fi g. 3 , / );
dans leur