PTÉROPODES.
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connexions nous portent
a
le considérer plutót comme
une dépendance de l'appareil générateur.
Le man teau, qui enveloppe . la partie postérieure
de l'anima l ' offre la meme disposition et la meme
st.ructure que dans les Cléodores; ainsi,
l'
on voit- infé–
rieurcment le bouclier qui circonscrit la cavilé bran–
chiale , et, en dessus, les petits faisceaux
mu~culaires
qui se portent obliquement en avant,
ver~
les bords
libres du manteau. Ces faisceaux sont tres-déliés .et
moins apparents que dans les genres précédents . Les
bords du manteau forment presque toujours, sur les
cótés, deux petits prolongements ( fig.
13) ;
mais on
n 'y trouve aucune trace des levres latérales qui exis–
t.ent sur le manteau des Hyales , et que nous avons re–
trouv ées plus ou moins développées dans la plupart
des Cléo<lores; sous ce rapport, les Cuviéries res-
emblent tout
a
fait aux dernieres especes de ce genre,
dont elles se rapprochent en effet par la forme de la
coquille ( fi g.
1,
2,
3, 12, 13).
Description intérieure.
Sous le rapport de leur organisation intérieure, les
Cuviéries ne difTerent presque pas des Cléodores ;
nous ne trouvons que de légeres modifica tions dans
quelques parties des appa reils digestif et générateur.
Ainsi , la cavité buccale et le renflement lingual
c¡u'elle contient, présentent un développement un
peu plus considérable, mais sans que la str ucture
de ces parties soit c11angée. Les glandes sali aires son