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Q
E .
ovidu te ou du
agin , et le fixe aux parlies voi mes .
Tel est J'a p ect de cet organe, lorsqu ' on déroule ses
d ux parties, omme l
représenle une de no figur es
( fig.
7 ) ;
mai
, sur !'animal vivant, ce deux expan–
sion
folia é
s' nr uient de diffi' rentes manieres,
t
peu ent prendre ainsi . le
forme
les plus
ariées
( fi g. 1, 2, 8 , 1
~,
15 ) . Le figur s qu 'en ont donn 'es
MM.
Rang et d 'Orbigny ont également inexactes.
L'existence de cet appendice
~ in g ulie r
n 'e t pa
con taote; nous ne l'avons jamais ren ontré da ns une
d s vari ét ' s qu nous a on
fi guré
( fi g . 3 ); il man–
que au
i qu lquefoi
dans l'autre vari ét ' ( fi g .
2 ) ,
mf}is l' n Lrouve touj ours alor , dan ce p iut , une
pelit e aillie fo rm '
lar la peau et qui en
t
omm
le ve ti ge . Nous ne auri on dir
i , dans e cas, et
organ n 'a pns en ore p r is son d é elopp m n l, ou s'il
a été sépar é de l'an imal par la r entré
l rusque de
celui-ci dan
la
oquill , ou bi n, enfin, si son ab–
sen e do it
' Lre regard ' e comm
normale. Quant
a
ses usa ges , i)
·t ertain qn 'il
SOlll tOl! t
a
fait étran–
ger
a
la r espiration, omme l'a vai t
rn M. H.ang · en
effet, outre qu 'il manciue dans plu ieur de ces Mol–
lusqn
, ainsi qu nou
enons de le dire , nou v r–
rons bientót qu e l 'appareil hranchial se trouve
a
a
p lace ordinaire et
ffre la meme d isposition qu e h z
les Cl éoclores. Le r approchement établi par M. d '
1·–
bigny ntre cet appendice et le pied rudimenta ir des'
Pneumodermes, ne nous parait pas
¡
lu · admissibl
,
ar il n 'y a,
omm
il est
fa
il e
el
1
0 1r,
:rn une
analogie entre
es deux parties .
a p sition
t ses