PTÉROPODE
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e
t
ana l mi te. Ce trois portian , quoi ¡ue bien d is–
tin tes, ont r éunie ou continues entre elle .
L'une, qu 'on peut appe1er portian mo enne, con–
tourne en arriere le paquet des isceres , en ui·vant Ja
courbe que décrit Je sac branchial , et se prolonge de
·chaque cóté jusqu'a peu de distance de l'ou erture
ant ' rieure du manteau. E.lle représente ainsi un fer
a
cheval dont les branches ont en e r étrécis ant pro–
gressivement et se terrninenl en pointe, Ja branch
droite un peu plus en avant que la branch e gauche
(
pl.
9'
fig.
3'
h' b) .
Les deux autres portions sont située , l'une a droite,
l'autre a gauche , en dedans de celle que nous enons
de décrire.
La premiere ou la droile for m un v 'ritable peign
dont les branch e sont perpendiculaires
a
l'ex trérnité
co rrespondante de la portian mo enne , t se pro1on–
gent, en dedans, ju qu 'aupre de la ligne m ' dian e. Ce
branchesoudentsn' nt ependan tpastoute la m · me
longueur; elles dé roissent en arriere et urtout en
avant, ot1 elles finissent par devenir extremement
courtes. Les dernieres dépassent un peu, daos ce sens ,
l'extrémité de la portian moyenne, et s'avancent en
dessous de la partie cervicale de l'animal. Cette por–
tian de
l'
app;ueil branchial est celle que
I'
on voit
a
tr_avers le manteau , lorsqu' on r egarde celui-ci par sa
face dorsale; dans le seos contraire, elle es t cach ée
pre que entierernent par les visceres qu 'il es t par con–
séquent nécessaire d ' enlever, pour en vo ir la disposi–
tion et l'étendue
( fi g.
2 , 3,
b, h).