VERS LE
PoLE nu
Sun.
lls fentoient tout ce qu'on leur préfentoit;
mais ils
n'y
goutoient pas. Je dcbai de leur
faire avaler par force de la farine tres-délayée
daos de l'eau faum "tre, mais je n'en us venir
a
bout; ils
la
reo-o rgeoient tout e fuite .
e
feptieme jour·, un d ' eux eut des
pal
itations
&
des fanglottemens tres-forts , femblables au
hoquet;
il
ouvroit la gueule en écumant une
liqueur verdatre ,
&
il rongeoit le bois de
fa
cu
ve. Je craignis qu'il n' enrag at , je le
.fis
Iacher a la mer. Je lachai l autre le lendemain
d ns une prairie ,
&
je me cachai pour voir
s'il broutoit ; mais aya
t
xaminé endant
long- temps qu' jl ne mangeoit as , je le
chaífai
a
la mer.
Il
nageoit toujours le long
du
riva e'
&
j eus beaucoup de eine
a
lui
faire
r
ndre
e
large de noue canot auquel
il
v
uloit
s
accrocher ,
&
qu
1
il prenoit appa–
remment
ur u ne roche. 11 ne nageoit pas
i
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oureufement · mais eu apres íl plan ..
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