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vertu qu'illcur dounait, que par
les fet'vens
discour
Iu'1l
leur
teuait.
Le
C
ng,
ou
tt
ois1eme
Prince,
a
qui
on
fit
part de la conduit de son frer
,
t des
l
ttres
qu'il avait
éc1
ites, en fut
altendri
jusqu'aux larmes;
mais
il se
reprochait"
lui–
meme
de
s' etre laissé pr
' venil
par un
f
r' re,
a
qui il
avait donné les premi res
~oonai . sanees
de
la
Loi
chrétienr
e; il r'solut d's–
lors Je finir certaines afiaires qui l'en1p -
chaieot d'effectuer ses
saiotes
résolution ; la
Province
lui
ouvrit
une
voie
quien
accéléra
l
ex'
cution.
Ce
P1ince,
qui
était
d'une
faible com–
P1 x
i
n _, e
t
don
t
la san
té
se
t
ro uva
i
l
al
té
r 'e ,
s'ab
entait souvent du Palais,
ou
d'aill
ars
il
ne
prenait
plus de
gout; et
d
'ja
par
princir
e
de
conscience
il
refusait d
. trouv r
a
e r–
tain
s assemblécs, nonob tant
l'o]
li ation
ou
il ' tait
d'y
assistrr s Ion l devoir de a
charge.
L'Emp
reur
ant;-hi
l'
n de
ti
tu a ,
pour
le punir d san'
alicrenc
; il lui lai a
n '(
n–
moins
une
di
nit '
ioféri ur
a
la
pr
tni '
r
,
av~c
des
app int tn ns proporti ou ' . Ce
Priucc
y
r non(;a peu
apr
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d
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tout
a-fait
libre,
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