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E

'I

C U R 1 E U S E S.

345

vertu qu'illcur dounait, que par

les fet'vens

discour

Iu'1l

leur

teuait.

Le

C

ng,

ou

tt

ois1eme

Prince,

a

qui

on

fit

part de la conduit de son frer

,

t des

l

ttres

qu'il avait

éc1

ites, en fut

altendri

jusqu'aux larmes;

mais

il se

reprochait"

lui–

meme

de

s' etre laissé pr

' venil

par un

f

r' re,

a

qui il

avait donné les premi res

~oonai . sanees

de

la

Loi

chrétienr

e; il r'solut d's–

lors Je finir certaines afiaires qui l'en1p -

chaieot d'effectuer ses

saiotes

résolution ; la

Province

lui

ouvrit

une

voie

quien

accéléra

l

ex'

cution.

Ce

P1ince,

qui

était

d'une

faible com–

P1 x

i

n _, e

t

don

t

la san

se

t

ro uva

i

l

al

r 'e ,

s'ab

entait souvent du Palais,

ou

d'aill

ars

il

ne

prenait

plus de

gout; et

d

'ja

par

princir

e

de

conscience

il

refusait d

. trouv r

a

e r–

tain

s assemblécs, nonob tant

l'o]

li ation

ou

il ' tait

d'y

assistrr s Ion l devoir de a

charge.

L'Emp

reur

ant;-hi

l'

n de

ti

tu a ,

pour

le punir d san'

alicrenc

; il lui lai a

n '(

n–

moins

une

di

nit '

ioféri ur

a

la

pr

tni '

r

,

av~c

des

app int tn ns proporti ou ' . Ce

Priucc

y

r non(;a peu

apr

s, aíin

d

' tr

tout

a-fait

libre,

t

d

1e

plu

r ir

que

Di

u

s ul;

il

av

it

d

'ja

con

'

i

u

con ul

in ,

d

ot il av ait

u

ur

fil

[U'il

in

trui~jt

lui–

m

rn

,

t

qui

~ tant

to

n1al(t

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onze aos

,

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