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ET

CURIEUSES.

IOJ

uns sur les a u

tres, com

rne

on le voi ten

Eu–

rope : tnais ce scrail

une

cruauté

inou 'ie

de

tirel' le creur et les entraillcs du mort, pour

les

entcrrer

séparé1nent.

11

s'en

trouve

qui

ou,·rent les

sépulcres pour·

y

prenrlre

des

jo~- aux

ou des habits précieux. C'est ici un

crime

qu'on punit

tres-sé~erernent.

(6 )

On

cotnpte

a

la Chine cent histoires de

morls qui

ont

apparu aux vivans, et l'on

y

craint les esprits

encore

plus que quelques–

uns ne

font en

Europe.

f ¡ )

Un des grands motifs c:ui portcnt les

sages de la Chi ue

a

la

pr~tiq

ue des actions

vertueuses, c'cst

la

beauté

de

la

vertu,

et

la

gloirc quien est inséparable.

En

1 T

sur le soin que doit avoir un JJ.Ianda–

rin,

d' exciter les Laboureurs au travail.

IL

y

a des ehoses qu' on

négli

ge-, paree

qu'elles

sont

commooes: cepenciantelles sont

si néccssaires, que le

Pere

du Peuple

y

doit

apport~r

ses pri nci paux soi ns. Tclle est

l,

Ctp–

Pl

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n1 ps es

t

ven u de labou rer et d' cnsemencer

les te..:-res,

le

1\f

andariu

sort

hors de la Ville, et va visi–

ter les Campagncs. Quand il trouve des

terTes

l,ien cultivées , il honore de quelque dis–

tinction le Laboureur vigilant. Au-contraire

il couvre de confusion le Labourcur indo–

lent , dont les ter res

son

t

négli gét-·s o u en

fri–

che. Quand on a su profitet de la saison

dPs

~em.cn

\es

) le

tcwps

de la

récolte atnene

la

1~

(j