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F

!lI~;&~~GIl!(

~~~!!:!:!!J

,(MuJi.q.)

Cettel:ttre majl1fcule.

¡

i!i"

ou ffilnurcule.

mire

au·ddrus ou

,

~

I

*

au·delfous d'une des lignes de la

~i

!

F

I

~

portée. fignifie

for(

ou

f071e.

On

~9

L

-*-

met al1(Ii deux

F

ainlí

F F

,

pour

~~O;*~

.

marquer qu'il faut jouer

tris-fo{t,

?li~q:¡~~0~¡¡¡ for.tiffitll~.

(F.

p.

C.

)

FA

FA

Fll INT,

(MII/I<{.)

On appelloit alnfi les notes

devant lelquelle.s on

tro~voit

un

b IIIOt,

particuHére–

mene fi c'écoit un mi ou un

ji,

parce que puur Ion

la

note immEdiatemeot au·delfous devient comme un

mi,

& que le

b mol

f,¡ie de la

no.re

béroolirée

un

fa

ou unt: note qui n'elt di!l:ante de I'inférieure que d'uo

iemi-con majeqr , c;omme

le

vrai

fa

l'eft du vrai

mi;

ainfi

ji

b

dt

un

f e¡

feint

par rapport au

la

qui devic:nt

\ln

mi.

La meme chofe avoit Iíeu pour les

f/.iefes;

roai$

avee la dlfFérence qu'au lieu qu'cn bémohrant une

note , elle deviene un

fa feil/t,

c'e!l: la noee immédia_

temene au delfous qui deviene

fa feillt

en la

dief~ne;

ainfi en mettane un

X

11

fa,

on fa ie de

ce

fa

~

un

mi,

& du

fol

au.delfus un

f (l..

feint.

Au refte , en abandonnant les muances, on a perdQ

l'urage du

fa ¡rillt

,

& e'di tane mieu¡c.

(F. D.

C.)

FAARBOURG,

(Giogr. )

ville

de

Danemarck,

fur la cóee mérid ionalc; de I'lle de Fionie, dans un

lieu bas ,. mais eres. fertile '. & au voifin age d'un gol–

fe, ddns leque! (cnt deux

peti[~s

Bes qui renferment

ch acun" un.: égli(e. Ceue vll1e a

un

pon des plus

n1édlO~ res

& en meme tems des plus fréqu encés du

p~ys,

11

c<\ure du grand comroerce de grains & de

denrées

qUI

s'y faie; elle

dI;

da{ls le bailliage de

Ny–

bourg.

(p.

G.)

*

§

FABARlA,

(Mythql.) facrifices qui fe faifoient

e

Rome fter le mont Célien avec de<

la

larine, des leves

.&

du lardo

Lirez

a'1(ec de la farine de leves

&

du lardo

M .

Chompré , qui

écri~

¡akaries,

die qu'on ofFroie

a

la

déeíte Ca.rna de la bouillie faite avce dés feves

&

du lard. On peue

voir

Macrobe

&

les autres antiquai–

res.

Lellres

ftir l'Encyclopi4ie.

FABARIUS,

( MII/IIJ..

de~

am.)

Les anciens, au

rappore de 13ullenger, appelloiene

Fabarius

un coan–

,teur, pro.bablemene parce que leurs ehanteurs man_

geoient beaucoup de feves qui, 11 ce qu'on préeend.

fortifient la voix.

(F. D.

C. )

*

§

FABULISTE,

( Lit{érature.)

On lit daos cet

arlicle

du

Difliolln. raij. des Scienm,

&e. " que Ru–

" fos Fe(l:Us Avienus nous a donné des fables, &

" 16s

a dégiées

a

Théodorc I'ancien qui eft le mémc

" que lV{acrobe".... II eft plus exaét

&

plus c\air

de dire qu'Avienus a dédié Ces fables

a

Ttfeodofe qu'o.n

eroit eere le meme que Théodore Macrobe, aueeur

des Sat\lrna!es.

royez

Tillemont,

Hiftoire des Empercut:s.

tome V. Lettw fur

l '

Eluyc/opédie.

FACH

011

VACH, (

Géogr.

)

vi\le d'Allemagne dans

le cercle du halle-Rhin,

&

dans le landgraviae de

Hdre:C:¡!fd_/ (ur la ¡iviyn:

'~(,l

Werra;

tllc

n',(t pas

c¡'ome

lI1~

1

FAG

grande. mais étant fituée

BUX

confins de la Thurin.

ge" fur la rome 'ordinaire de Francfort 11

Leipfick.

elle

el!:

confidérable par c,e palfage & par

le

péagc

que l'on

y

paie: un baillif du pays

y

tir{le fvn lie.

ge, duquel relfortie aum la vi\le du Waldkappd.

Long.

l7·

35.

10.1.

50. 55. (

p.

G. )

PAGARA

ou

XANTHOXYLUM, (

BOlaniq.

)

en

Fran~

~ois, fré~

épilllUX;

en Anglois

loo~b·a,blm.

C(lraéJere génériqlle.

M.

Duhamel

d~

Monceau dit qu'il

fe

trouve des

fleurs mides & des fleurs femelles fur dlfFérens iodi–

vidus, & donOt: de chacune de ces fieu rs une deferi–

peion partieuliere. Milkr décrit en outre des fieurs her–

maph~o:lites:

nous regrettons fon

de

o'avoir pas

vé–

rifié le faie; cependane nous nous arreeerons au fen–

timene de. ce pm\1ier aljeeur.

fi

exaét dans la partíe

dcfcriptive.

Les fleurs males one un caliee découpé en cinq

parlies ovales

,,& '

col'órées,

&

quatre

a

cinq, quelque–

fois fix & jurqu'a fepe éeamines. Les fleurs femelles

one, au lieu d'étamines, quaere ou cinq embryons

&

aueant de nyles eerminé, par un !l:igroaee obtuso Ces

embryons ,qui

ron~

ralfemblés

en

eet¡:s au fond des

calices , deviennent aueant de caprules qui renferment

~h<lcunt;

une fe¡uence ronde

&

brillante,

J.

Fagara

ou

~ltnthoxylulU

a

feuilles ailées,

a

folio–

Jes lancéolees. dencelées

&

pourvues

de

pétiolcs.

Fagara

v.el

xanlboxylul/I foliís p¡nllalís, foljolir lallcto-.

lalís, ferrMis, peliolalis.

Mill.

<{ootb ·acb-trtl

~f

Caro/il/ae.

l.

Faglira

ou

xalltbQxylll/l!

11

feuilles ailées,

a

folio–

les oblong-ovales. entieres &

a

péeioles.

Pagara vel xOnlho)l),lmn [oliis

pinnat¡~.

¡oliQlis

Qblo'lgq•

~valís,

inlegris apeliolattJqlle.

Mili.

'Ioolh·acb-tree of Pmfy/vania.

La premiere efpeee, dit Miller, crole d'elle-mém,

~dans

la Caroline mériJionale,

Ol!

elle s'éleve

a

la hau–

teur de qui02;e

QU

feize pieds; la tige

d\;

cou verte

d'une éeorce rabo.teu[e & blanchatre, arrnée d'épinea

courtes & rpailfes, qui groml!i:ne en proponian du

trone,

&

qeviennent des {lodo\1tés conliderables. ter·

minées en pointes.

La fé<;onde cfpeee crolc, en Penrylvanie

&

dans

1,

Maryland. ou elle

at~eine

a

dix ou douze

pi~ds d~

haut: la cote de la feuillo en armée par-d.:{fous

<1,

qudques perites épines.

Touees deux (e multipli{lne par

leu~

graine:

n,

faut

la remer dt) bonne heure en aueomn/: dans des cal{fes ,

qu'on mettra au primems dans une couche tempéré.e;

a

I'ég'lrd de la premiere, le jeune plant [eríl

~~nté

dans des cai(fes 11 vierage

pendan~

plulieurs aonees ,

&

I'on ne rirquera les picds , n plein!! terre, que loro

fqu'ils amone acquis

bel¡UCOUP

de: c;on(illanlie ; encore

faudra-e-il avoir foi n de Icur donner une t:xcellenlC!'

tX'pQf~tiol1.

Le leune plant de la 'f'l0nde

e[pec~

pCIH