:.
DE
CRIPTJON
vcnt
toujours
a
s'y employer,
mal–
gré la quantité qu'ils en prennent,
i
s
y
ont des cabanes pour fe re–
ti
rer
&
ctre
plus
a
portée
de
pro–
ficer des momens favorables a
ce
commt::rcc.
L'
on
trou
voit
dans Je
port
de
Call
w
to
ltes
le commodirés
né-
effai
·es
~
la
1uvigation. On
fai–
foit eau
4
L1 petite riviere de
Lima
qu·
[e
vient décharger dans b mer
fous le5
mms
de
Callao,
on a a
la
, ériré plus d
peine
a
y
faire le
b
is , qL1'on
trouve
cepend1nt
a
B
ocan gra
:
une demi lieue
au
]\ ord;
~m
is
il
le faut aller couper
a une demi lieue dans les terres,
&
en
payer
aux
léfuites
L;
Ot!
3
o
piafhes
p~u
chal uppée, felo qu'el..
le
cl1 plus ou moins g ·
nde.
Il
y
av
it
al
~
pieds des
murs
des ef–
cal les
de
bois ,
&
un mole
de pier...
re pour
d~charger
plus ai{( mene
tomes forres de chofes de
poids ,
comme
barriques
,
boucaux, caif–
/ons,
hallots
J
ancres
:>
canons
~
&c.