U
p
E
R.
Ó
lJ,
3
font un peu plus petires
au
Pérou,
parcequ'il n
y
pleut j.i.nuis; ou bien
ils
les
font
de claies bourrées en–
tre deux planches : c'eH: ce qu'ils
appellem:
tapias.
Cette fas:on de
bJ.tir ,
pdis
uGt 'e des
omains
felon
Vitm1'e
,
exige
d'anrant
moins
de d-.;penfe , que ce pays
f;
urnic par - tour
&
en abondance
le maccriaux de ce · forres de
bri–
ques qui durent cepend.rnt des
Gc–
cles
entiers ,
comme
on le voic
par
les refl::es de bacimens
&
des
for.tsconíl:ruits
p1
les
lndiens
, qL1i
ont duré au rn--,ins
20
ans.
Il
eíl:
vrai qu
7
elles ne eroient pas
fi
fo–
Iides
s'il
y
ple
ivoir-; cu
au
Cliili
ils
font
obligés,
pou ·
la
conferva–
tion de leurs maifom, de couvrir
en hyver avec d
1
J.
haum"" ou des
planches , les murailles qui
íont
expofé s au
]\lord.
Les éJifices publics font la plu–
p~rt
bacis de
briques
cuites
&
de
p1erre.
lis
ont
a
la
Conception
une
e[-