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ERO V.
2;
na
enco1
pu
jufqn'1ci
y
trouvet
auctn
remede )
le
malade
fe
voit:
dans b dure nec ffiré
de
éder
~
la
violence de fon mal qui
fait
tollJOurs fes
pr gres. Cerre con–
tra hon vient de
la
deíl:rn8:ion des
e1prits
animaux qui
íi
nt
les
pre–
miers
príncipe
de
la
fenfarion ,
&
imprimem le mou ment au ...
n
rfs
qui ,
éranr
priv s de ces ef–
prirs,
do1vem confequemmenc
per–
dre tour Jenr mouvemenr.
Le
Kafzk
de
Pifio
fue
att.
que
de
cette
cruclle maladie dan un
voyage qu il
fit
a
Lún.i
pour
y
r ' -
clamer des
marchandife
que les
Officiers de Sa. MaJeíl:é lui
rere–
noient. Il
fut
d abord
pris
par une
foeur
q.Iiaugm
"'nta
de plus
ert
plus ,
&
deífi ' ha
en
iére4nent
les
nerfs
du fl.uide
fpirirneux qu'ils.
comenoient;
&
éc~nt
en fin rour-
_faic deflimes de
mo
ivcm
m
il"
)
fe roidir
nt
a un
tel
po!
lt,
qu~et.
3
6
heures de
rems le nul
e,
qJo ·_
1e
crcs-robufte
ne po
ivoi
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