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D
V
p
E
!?.
O
V.'
247
'fait
recer
un
fe
·mene folemnel a
nom
dL1
foleil
&
de
la
terre , en
prffence du Prctre
acri fica eur
&
de tont le penple qui
regardoient:
le
foleil
comme
leur
pere ,
&
1J.
terre comme leur mere. Elles
1ú–
voient d'autre occupation que
de
íiler
dL1
co ton
&
de
la
bine
pour
faire de
étofte",
&
de ramaffer
les
os des brébis bl.rnches qu,elles
joignoient
a leurs eroftes '
&
y
meuoiem
le fen.
Lorfqu'ils ecoienc
bmles , elles
en
ramaífoiem
les
cendres ;
&
regardant du
cote
de
l'E
fl
~
les jettoient en l'air : mur
ces
veíl:ales,
il
y
avoit
trente
mille
In
iens
pour
le fervice
de
ce tem–
ple.
Le
koli!Jri
&
le
tokan
font
de
tous les oifeaux les plus
remarq11a–
bles qu'on voye au
Pérou.
Ce pre–
mier
eil:
plus
petit
qu'un roire
1
er,
&
-eux du
P
érou
font
encore pl
lS
petits q
1
1e
les
kolibris
qu'on
voic
aux Iílcs
de
l'Anzérique.
Cet oi-
eau a le bec forc
poinrn
&
noir,
L
iv