nuPEROU.
11:.7
tagne
' telles que
la
e
or
lillerd.
D'ailleurs ceci s'accorde avec l'ex–
perience; car il
y
des endroits ou
ces phénomenes n'arri vem que trcs–
rarement, comme
a
Kz¿fco,
~
Gu
l
1
m nga
,
&
ailleurs.
-~n:
pour cette
mcme raifon qu'ils font plus
fré–
quens fur le bord de
la
mer en
ltalw
que vers les
Alpes.
En un
mor, on ne peut di(convenir que
l'eau n'ait beaucoup de part a
b
produél:ion des
tremblemen
de
rene pui(qu'on voit les campagnes
fe
difpeder comme de
la
cire
f
n–
due,
&
des
bes
fe former
tout
d'un coup dans les endroits ou el–
les
s'affaiíloient;
p..irceqne la terre
en s'enfons-am, force l'eau de pren–
dre le deffus, pour peu qu'il
y
en
ait une cerraine qua.miré , ou au
m ins de
fe
répandre
lorfqu'ell~
eit
for
un plan incline.
QJoique
Frézier
ait
d'abord en-
. tieremenc attribue
la caufe
es
tremblemens de terre
J.
l'eau , il
eíl: néanmoins forcé
de
con
venir
F
iv