L'A
E
l
U E S E P TE TRI O TA L E.
n'y
avoit q
au plus.
n'en
t ·
fut
b
1,
e-
le
menc;am
a
t
u
_r de l'Ou
m
ttrc
le e l
au
or
l
our
g gner le large
en anendant le jo r. On
paíf.1
la
nu1t
en
~
n . nt
de\
1 ,
nt
le Vaiílcau,
parce
que
nou~
avi
n
rema1qué,
que notre
Pilote,
qui
étoit
f;
rt
habite ,
mais
qui n·avoit
j
m1i
f.
it
de parcilles
na·
\ igati ns, érnit
:iff
z
negligent a cet
'g,
rJ. O
i
continua de cctt... ma-
ni re a fon cr pendant
le
rcftc du
voia·
ge.
Le
2
f.
le calme continua
j
ufi
ies
a
midi '
~.,..
n us
pourfuivime~
nutre rou–
(C
au
.r
T
ord Oueíl: a L·
faveur d'un
b
n ve
1t
de Sud, qui fe ch. ngea bien–
tOt
en Sud
uei1.
minuit on
fut
obligé de
poner
au
ord ,
cauíed'une
rande
ointe
i
s'av ne
it
d ns
chantcr d s
Hymn
s.
a1s
la
tcm.
ere
étoit
ii
vi
l
ntc ' que n us
ne
p
u
1
io11s n
us
tcnir
-
ir
k
l
ont
du
Vaiffau.
L
i1
íi
ans
cettc:
.·tr miré
clucun
faiC
it
es de · tion en
ani–
cu
lkr,
comme
il l
ouvoit.
Il
n'y
cut
que nótre
Pilote,
qui ne
l
ut
jam
is
y
etrc
porté.
Il
fe
l
laignoi
, que le
i
ur de la S lle l' voit , mené
J
...
pour
luí
faire perdre
l.
gloirc:, qu' la\
oit
acqui e en tant de nwjgations, done
il étoit forti a Con honneur. .
Dans ce fachcu,- contretcm¡ s nous
priamcs
le
Sieur
e
la S lle , qui
etoit
notre
Chef de
faíre
un voeu
par–
ticülier; ce qu'il
fir.
Cepen
nt
le
vent s'érn;-it
un peu dimim
é
l'on
fit
mettrc
a
l.
cap
toute la nuit'
&
nous
ne derivames l}u'une licue ou deux au
p!us.
Le 2.7 au matin on
fit
voile au
Nord-Ou
íl:,
qui
e chanoca le
ir
en un
l
tit ve
t
ahzé du
ud -Eft,
a
L1
favcur
l
u u l
nous
arrivam