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~~L!B!-WII&Q
lem·ent
a•
hatter contre les venrs
&
les
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3.
élémens ,
n1ai~
encore contre les.
Gé–
néraux
&
les Officiers de Marine : ils
vl.nrent.
fo~veht
lui
repréfenter qu'il n'y
avoit pas moyen d'avancer dans
une
faifon
íi
rude. Monfieur de Keith qui
avoit fervi fur les galeres d'Efpagne,
' & .
qui
favoit mieux qu'aucun
des
Of~
ficiers qui étoient' fur cette Efcadre, ce
*
qu'
O!l
peut faire , ( quand
·la
bonne vo–
lonté y
efr)
fut
toujours feul
de
fon avis.
.S'
étant fait -donnet -les repréfentations
par écnt de ces Marins ,-
&
les ayant
mis dans · fa poche fans les lire , il
or~
donna-
d~ ,
d9nner le
fignal
du
départ. Il
ar_ríva_le
z
3
·oaobre
a
Sarmund_,
fpr
lesr c<?tes
de
la Suede.
Il
laiífa fes
ga·
le~,e~
dans ce port
&
fe
rendir
a
Stock–
holi:R ,
ou
il
re~ut
les répartitions·
PC?ur
les ·_quartiers d'hiver des troupes.
Le
Lieut€naht-
Général
Comte Soltikow
~ev6it
les
y
conduire; comm.e ces quar–
tie·v.s .etoierit- aif¡gnés le long des cotes
d_ans Ja Stidernianie
&
aans l'Ofl:ergo–
thie·, & -qu'-'on vGuloit.ipargner
au
p'ays
}a
dépénfe
de fournir· les ·voitures pour
te · tranfpor~ ·
des bagages, ·on
demanda
encore
qu€
les
Régime-ns
fiffent
ce
trajet
fur