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,,
-Tolíl:oi,
de meme
que
(on
fils le Gé-
~~~
néral Butterli]!, & quelques
áutres
fu-
1
7
2
7•
rent auffi. rélegués ·en Sibérie , mais le
Cornte Alexandre Narifchkin & le Gé~
néral Oufchakow
dans
leurs
terres.
On
prétend que
ce
fut
le
Conite Baífewitz
qui,
par trop de
confiance_
qu'il a_voit
en
Menzikow , lui
fit
part des ouver-
tures que quelquas Seigh~urs lui
avoient .
faites touchant les bonnes intenti9ns
qu'ils
avoient pour
~a Ducheífe. Men#-
kow
en
profita
fur
le
champ,
&
rompif
toutes
leurs mefures. Les
a~tres
qui
étoient
encare
dans
les
intérets
de
la
Cour de
Holfrein ,
furent extremement -
.intimidés par~
la ,
&
con~urent
en
me.o
me-temps non -
feulemem une
grande
méfiance ,
mais ·meme
du mépris
pour
le
Comte de Baffewitz.
II
ne
fuffit
pas au
Prince
Menzikow·
que
ceux-.laeuíf
ent
été punis
alors :
a
vouloit
en conferver
la
mémoire
a
toute
la Ruffie,
·&
oter
par-la
aux
au–
tres l'envie de lui
nuire
a
!'avenir.
Pour
cet
effet le
Haut-Coníeil
fir
publier
un·
mflnifefte, par lequel on exh9rtoit
tout:
le monde
~
fe
garder d'
entrer
da:ns
des.
liaifons daiigereufes. On
ajoutoit,
qu.e:
A
iv