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v s s z
E.
313
.
p,oyen de paífer les poíl:es des ennemis -–
faris erre vus ; cette perite troupe
s'in-
17
37.
troduiíit dans le camp
&;
tua
pluíieurs
Tu
res dans leurs tentes : il
fe
paífa plus
d'une demi - heure fans qu'il y eut
1
4
moindre alarme; mais enfin ayanr com-
mencé
a
pill~r les temes
ou
elle avoit
tout égorgé,
il
n'y
eut que
íix
hommes
qui purent s'échapper, ~ous 1es autres
furent tués.
Le
3
!
le feu continua comme
la
veille; une bombe des affiégeans tomba
dans un des baíl:ions
&
mir le
feu
~
des barils de poudre dont quelques hom–
mes furent tués.
V
ers le
foir
deux
ga–
leres ennemies s'approcherent des
re–
doutes conftruites
a
l'
embouchure du
Liman,
&
cominenceren~
a
les canon–
ner : on leur répondir de maniere qu'el–
les furent bienrot obligées de regagner
le large.
On
n'a compré fucceffivement
pendant tour le temps que le fiege a
duré, que quarorze galeres turques dont
au
cune
n'
a
pu
encrer dans le f1euve ,
a
cauíe du canon de Kinbourn.
Le
1
N
ovembre le feu ne diminua
point ;
une bombe tomba dans le baf–
ti
n
p
·es
de la porte
S.
Chrifiophe
j