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recrute_r le cctrps -d~tngénieu_r~•.Il eut en
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revanche.
jufq
~'a q1:1~~re-~it!grs
1
~ommes
1
732-.
d'une
grande
tai.l.lepour
fes
Grenadie~s
du Corps.
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peu .
t:lfeS .
dan·s
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t€mps
On
augmen;.
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,
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te les gages
l'I~pérntnce
·ae,pt01:1ya
'l]ll
-au~re ·
pr-0-
des' Officier5:
jet que
le
Qoqlt~ ,a:yoit·
fait.
Jl
~onfif.._
Ruffiens.
toit
a
a,ügmenter
.les
~ppointemens
des
' 0$.ciers
Rtífes,
qui
ñ'€n
'avoient -
eu
jufqu'alors que tres - peu. Pteire
l.,
en ,
forrnant fon armé-e -avoit infiinaé
trois
forres
de ,p¡Jfe.
(es-
ét.rangers
qu1 en–
troient h<~:mvetlement au .fe_rvice -, ( re–
~-ev<;jiefit -
une ·h~ute ;paye. ~reux · qui
~toient nés
~da1;1s_
le
pays,
&
.auxquels
on avoit
-cl.onné
le
nom
de
Starie-lno-
fe;,zi
,
r
v_i~~~ -··
.é-tquigers , -
p-éii.rce
qu€
leurs
peres
qu:graad-peres
s'étoient
déja
établis en Ruffie , ,a·voient uq.e ~.oin–
pre _,
&
les
Ruífes
avoi~nt
la plus pe–
tine :
celle
d~up
Enfeigne ne
montoit
qu'a
huit
fldrins
.d'
Alle_magne par ·
mois ..
Memfieur
de
Munich repréfenta
qu'ils
11:eri
pouvoient
pas
yivre,
&
qu'il
étoit
fojufte que
les étrangers e1:1ífenr
l,U~
payement
plus haut que
les
nationaux.
~in!t
tout
le
mol)de
fut
mis_
fur un pied
egal,
&
la paye des Ruffes
fut
augm~n–
tée du double.