('
1Jó'
~ít tég~rtte
.eles·
assígnats«monnoie
~
qtte
1e
chéi
tln pou lOÍr exécutif est inviolable ,. et qu;'íl
fout assurer
a
la
nation
un~
re.spofisahilité
persondelle ,
dont
s,es
r·eprésentans
puissent
étre juges ,
d~ns
tous
les
cas ,
4rLVe~
la
plt5
grande
facilité~ ;~.
<4
4
°.
Sur cette
vérité, qu'apres·
ri·ohserv·afion:
exacte de la justice,.
dont
une
nation
libre
ne
pettt se
dispenser
en_
aücun
cas ,.
fa
dette
pú.i;y
blique a bien- p!us
hesoin
d'une
manutentio11
intelligente et
s0umis'e
a
des
d~·crets
confotmes–
au tems , qüe
ce~
décrets·
abso'lus
oh
l'
on
,.
1
1
"
t
pra1uge ce que
on ne
peut pas conno1tte,
e
·
o1t
1'.1on
semb1e vou16ir
enchainer
le5
évenemens~
baignei
done
vous· accordet sür
ün établisse""
ment ,. dest iné
spédalement
a
la dette publique;
établissement
qui,.
toujours sous les yeux des
représentans de
la
nation ;·
püisse
convertit
cette partie de
l'ac1111inistration:
en une
écono•.
mie ,_
je diYai pres·que j.ournaliere, ptopre
a
élever ,.
a
maintenir
le
crédit
fiational ;-
car
~
. t
'
.
'
'
so1 qu ón en use
y
so1t
qu
on nen u·se pas, ce
crédit
doit
etre
indestructible
comme
la nation
meme :
une
nation agricole
peut moin.s
qu't1ne
autre peut-etre ,. se passet
dtt
plus grand
crédit;
í1
modere
mieux que toute autre
mesure
l'in.J
t¿ret
d~
!'argent.,
et
1(¡!
bas
intéret
est le plus
s11r
~