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EN AU.TnICHE.
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2
_j
leurs r écoltes dans des fos~es
pratiq11ées
dans la -
t erre, au
1-ieu
de
les mettre daiis
des
-granges
construites
pour cet objet.
Les
pomrries
de terre·
et
les · 'd.ivers
légumes
farineux ne sont guere cultivés qu'e par les G;e,cs
non
unis
qtii
vivent dans ces canton-s. Ces
Gt ees.,
assniettis
·a
des jermes fort rigouret:tx:; :se s·o1nrvu's
)
'
'
forcés de s'aelonner
a
ce genre de eHlt-ur,e,
ét 1_
quoiqu'ils
y
1nettent
b~aucoup de zele ; .i.i,s ,
-en
tirent eno0re
beaucoup de la Turq:uie.
Le chanv1~e comnience
i
etre cit-1tivé.
dans
·G'es
.
\
contrées. Ainsi,
e1J.
18
JO
on
en
3
récolté
j1t1-sq:u'a-,
33,172
qüintaux. ·Ce ,chanvre
g~-t:,
du rest<i!,
,tl'une . ·
qualité assez méélfocre
;par m1'é
-suite de
'la
:oégli–
gence des habita-ns. La garance et l~ pastel -so-nt
encore inconnus aux· cultivateurs du
1
pays. Le
climat convtendú,it ·ce,pendant -a\ces
deúx
!f>la.1;ites1;
qui croissent natureUement dans u~ -g
0
ra:nd
nou1-
hre
de lieux de ·
cette
contrée.
, O~ estime le p,roduit annt1el des v~gnoh1es 'des
frontieres militair~s
hcrngroises
l .
89,320 ·eimetst \
~ependan~,
dans
les honnes_
a1mé:es:,
·ce
¡pr0rd1:tit
·est
heauoou,p tlJ~us considérable:
a:itisi
:mi
,¡.8
I 0
i!
;s'est
élevé
a
gJ,980
eimelrS. Quant
aux
VÍ'HS
·ró
1
f'lge,s
qu'on
réc0he
d~11s
cettie
prov:Í.i\i.c:e~,
.i.I~
s0i:1flt aJSs·e~
estimés; l\m
d'-enti'eux,,
celt1¡
·Ole
\Ve1isskirq1rnm
jouit meme d?frne ,grande ,reu-o,mmé<e.
La culture des arhres fnúti,en; , a
jus<ifu'it' prtf.'...
sent for-t peu
attiré
l'attentiou
des,,}
¡a.Jl:r,ta,R;S·'.
~ es ,
16.