330 / 488
318 \
., ·VOYAGK
contraire:, i:ncommode dans les plaines sablon–
neuses
q;1:ú
séparent
:Pesth
et
Szolnok<-,
ou dans
les landes de
Ketskemet.
Le pays qu;a:rrose -
la
- Theiss,
pres
·de son
emb'ouchure, est également
tres...:.cháüd,
sli.rtout dans
les lieux
qui
offrent _
une ._grande
"'qtranfrté de ·sa15le~ Enfin -l'on
remar–
qq.e qt1e généralement ' dans l@s pláines de la
Hongrie , _les,
nuüs
d'été ~ont ·
infiniment plus
] 'fro~des ' qu'a:illeur~;
ce qu'il
taut
attribuei- .
a
la
chu~te de
la -grande 'quantité.
d 'e,.
vapeurs
qui'
s'éle–
vent pendant lé ' jour. Les bbseryations níétéoro–
logiqu'es
y-ont été encore
trop
peu
s~livies póü-r.
faire
quelques·remarquesit
c~t
égard~-
En effet;
toüt -
ce
qn'.e l'on
sait-,
c~~·st
que
la
haütenr
moyenne.
du
' ha::rométre '.eSt
a
P~sth'. de
27
P· 6" ;'
a
Leutschah
dans
le
comté
d~
Zips
;de
25·p.
1/',;
sur lefrywan, de
20
p ~ff!, -et
sur le
pie
de
Lomnit~,
de
20
p.
1/3''.ün
a
évalué
la
tefupératnre moy-enne·
de ,·_
la
Hongrie
a
io
ou
I Iº'
thermometr,e
de Réanmur.
.Ce
qui
i~st
plus
certain , , dest que le"' passage du chand
au froid
y '
-a ·
.sotlvent
lien- :d'üne maniere subite.
La
·temp:érature
chañge
,aussi '
ponr aihsi dire,
a
chaqu~ instant, et le~;jonr,nées les plus chaudes
·'sont souvent
e
suivi~s de nuits tres-froides; ee
qui influe
a'un~
maniere fmiest'e sur
la
santé
d,es
habitans.
La pluie:; la neige
et
la
grele ,
ne
tombeI1t
pas
partout
ave
e
la
meme fréquence.
Ainsi,
dans les
plaines qu-e
de~
montagnes n"ahritent
point
!
des