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DES COLONIES ANGLOHES.
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iiles Angloifes en achetent auffiia
On
p~etend
que dans ces differens
marches,
il
Je debite deux cents
mille quintaux de merluche qu'on
fu
ppo(e produire net
&
direC!:e- ·
ment
1
3
8,
ooo
livres fierlin gs
(
3, "
174,
ooo
livres tournois) non
compris le .fret•. Cette fomme efl:
e_ntierement benefice. · Car
fo
debit du rebut de cette peche que
l'on vend aux Antilles pour
la
nourriture des Negres, '& celui
de l'huile de morue foffifent pour,
rembourfer des depen(es qu'elle
entra1ne: telles que l'achat du
fell>
_ du rum, de la 1!
!f.la.£fe, des provi–
fions de bouche , des u!l:enfiles
~
&c. Que l'on juge par-Ia de !'im–
portance d'un pareil commerce..
Paifez en _revue toutes Jes autres
fortes d>occupations , vous n>en
trouv~rez
pas qui offre un lucre
auffiirnmenfe. Outre les 138,
ooo
livres frerlings que
ce~
article
ajoutci-annuellement
aux
richeifes.