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. DES GoLONI.E.s ANGLOISEs.
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Quoiqu'an ,
commencement du
du com-
.r
f'
•
fi
1 'l
rr
merce
-ulX-
Jept1eme 1ec e
1
s
y
eunent
de cene
occu pe
2
5
o
b~timens
,
ils l'a-
fa~ine.
voient
rn:~gligee
depuis aJJ.. point
.
qu'entre
1666 -&
1
690,
ils n'en-
,
voyoient pas anmiellement 8
b
voiles
en
Terre-Neuve. Lesfoins
-...
que le minifiere prit en
171
3
pour
leur affurer cette peche, leur ont
ouvert les yen·x for l'avantage
d~
ce commerce. Ils e_n
font
a
pre–
fent tres- occupes. Tous les pa–
piers publics qui
fe
diihibuent
journellement
a
Landres, ne cef
0
lent
d'exciter ]e gouvernement
a
.faifir
la premiere occafion
qui
fe
prefentera d'empecher
la Fran·ce
.d'y
prendre part.
Et
fi
clans ce
_dernier _R-9yaume
9n~
:n!eft
tr~s..atten t-if
a
Ja rnnferver, Hs ne
tar-·
-,dero,nt.
pas
i
fe
l'appr~p~_ier.
Occ.u.-
·pant
-deja
_Vifle
de,Tmfe-N~uve-,
ils
offufquent
l'entree du CanaQ
1
da
1
.
&
e11
rend·ent en quelque -
.forte la poifeffion
p~eca'~re
pour
les