D-Es Co1omEs A_N0101sEs. 17
une grande diminution clans fon
•
commerce. Sesacrions
qu,i
avoient
I
I
1
d l' d
l'
_ete portees au- e
a
e
3
oo
1vres
fl:erlings'
~
felon quelques
ecri~
vains jufqu'a
5
oo
livres fl:erlings,
baiiferent conGderablement. La
- refiitution des lieux qu'elle avoit
occupes, la tranquillite qui
a
ac–
compagne depuis
fa
poffeffion ,
&
le gollt que l'on
a
repris
a
Londres pour les fourrures, ont
reifufcite
fon
negoce '
&
l'ont
rneme porte plus loin qu'il n'avoit
encor_e
ete.
Cependant les An–
glois reprochent
a
la
compagni~
de ne pas l'etendre par des motifs
d'interet- particulier auffi
loin
qu'elle le pourroit. En
1710
elle
augmenta encore fon fonds, qui,
par cetteaugmentation,
fe
trouva
porte
a
I 0
3 ,
5
00
livres fier–
Jings, (
2,
3
8
o,
5
oo
livres tour–
nois.)
La compagniede
Ia
baie
d'Hud.; -
fon a
acl:u~llement·
quatre
facro~
~