DES COLONIES ANGLOISES.
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une
fois
les efprits
font
effarou–
ches, on ne les ramene pas
aife–
ment ,
il
reite encore
bien des
-
changemens
a
faire
dans
la
conf–
titution pour
que
les peuples
trou–
vent quelque avantage
a
s'habi–
tuer clans ces cantons,
I I I. Cette
Colonie
intereffe
Obfer..;
beaucoup
les Anglois , moins
vfiatio
1
n .
"
l '-
/
.
ur a
. peut-etre par 'e1perance dont 1ls
Geor-
fe flattent d'en tirer les foies·
&
gie,
vins
qu'ils
achettent en
differen-
tes
contrees de l'Europe, de l'Afri–
que,
&
de
l'Afie,
que parce gu'ils
la
regardent comme
la
frontiere
qui
met~
couvert
du
ctlte
du
fud
leur etabliifement fur la
terre
fer-
rne d'Amerique,
contre les entre–
prifes que pourroient former
les
Efpagnols ou les
Fran~ois,
ft
ceux-
ci
venoient
a
fe fortifier dans la
Loui.Gane,
ainG.
qu'il
eit de
leur
interet
de
le
faire.
Telle e!l: la vue
dans Iaquelle