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2.
HrsTOIR.E ET COMMERCE
portes
al!.J~trc;;fois.
Les unes
& , ·
les
autres
co1'1tribuent infiniment
a
enitreteroir dans un -mouvement
rajp1i4€ l©
c@~irs
dQ
commerce
in–
terieur de ce
Royaume;
c'eH:-a–
dfre, de eel
mi
<qni
s'~xerc<e
dans
l'etendue
de
fes
domaines.
Mais
les.
colonies
f~ptentrionafos
in–
flue11at
cl'une maniete bien
plus
puitfarote
que
celles
des
ifles for
,
r~a
balance
du
c0mmerce exterieur
') de l'Angleterre.
Apres les marou–
faCl:l!l•res @e
lainerie ,
c'eft
aux
,
RtoduCl:ion~
de
la
Caroline ,
de
fa
Virg,inie, du Mary
land ,
de
la
Nom.'v,elf.e ..
.York,
&
meme de
Ia
Nol!l
vtdle -
Am·gleterre
Sc
de.
la
E~nfih1iaim1ie,
que les
Anglois doi–
v:ent
f'Fefcquie
foU•t
l'argemt
etnan–
ger
gHG
le
Negoe:e attire
chezeux.
~'imiFoUarH~e
de
ces
etabliffe~
111~lils
jpGUr
la
l'lation
Angloife
n'dt 12as_
la (eule
chGfe
qui en ·
:_ rend
l'hitl:oi·ne
cµrieufe.
La conf–
~iGuti~~
d% leur
goµ
v.erlile:meat '