DES COLONIES ANGLOISES.
1.
57
n'efl parvenue
a
un
fi
haut
degre
d'accroi!fement , que depuis que
la liberte du commerce d'Afrique–
a donne aux
Virginiens
&
aux:
Marylandois les moyens
de
fe
fournir
de N:egres en grand
nom–
bre. Elle devroit produire
a
l'E–
chiquier d'Angleterre par
lesdroits
d'entree annuellement une
fom~
me
d'environ
4
1
o,
o
o
o
livres
fl:erlin
gs (
9
,
43
o, ooo
li
vres tour–
noi~'
a
n'eCT:imer
la confomma–
tion
qui
fe
fait
de
tabac clans ce
Royaume
que
10,
ooo
boucauts;
car on
ne
compte que fur la con–
fommation interieure , attendll
que
les
droits
perqus
a
1
l'entree
font rendus
a
la
fortie. Voici
les
bafes
de
ce
calcul.
Le
boucaut pefe
800
livres ;
la
1ivre de tabac paye d'entree
6
d.
T
(
~
i.
f.
8
d. tournois, )
ce
qui fait
p<ir
baucaut
2
r
livres
1l:erlings
i.
fchellings ( environ
4 8
5
livres
tournois, ) fur ce pied
20,
ooo
y