frES COLONIES ANGL,OIS
ES,
I
2:..);
deJ
mer,
de~
veaux rnarins, des
baleines,
&:~
Les
baleines ne
pa~
roilfent que rarement clans ces
pa.~
rages.
Mais la peche de la
morue,
quoique bien moins riche que
celle qui fe
fait
a
Terre-Neuve,
ne lai(fe pas
d'en produire
beau.-
coup.
,
Par
l'enumeration qu'on vient
co~n,de lire des producrions naturelles
merce
de
la
Nouvelle - Angleterre, on
N~u~a
dl:
en etat de voir quelles font
velle-
1
1 d
'f'.
•
c
1
An<de-
es mare
1an
11es
_qm
rorment
a
rer:'e.
bafe de
fon
negoce. On tire de ce
pays des fourrures, des peaux de _,,,
cafl:ors
,&
d'o_rignaux, des
m~tll-
res , des vergues , des planches,.
du
mairra.in,des bois deconfhuc–
tion, des grains, des farines, dn
bi(cuit, des chairs
falees,
du.
poif-
fon'
entr'au-tres de
la
morue
vert~
&
feche,
&
du
rnaquereau
fale
~
de
la
poix, du gaudron,
&
quel..i
quefois de l'ambre que Ia mer
1.
ette fur fes
c8tes.
L
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