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dices chgités ( fig . 9 et 17,
d,
el,
v
) .
Dan
les e–
melles' l' utérus n'est pas disposé '
a
sa partie posté–
. r ieure, comme chez les Littorines. Les glandes sali-
aires sont plus petitE'.s et ont une forme tout
a
fai t
différen te ( fi g. 11 , 12,
13,
s, s
).
Le
r~ban
lingual est
beaucoup_moins long et ne fait qu ' une petite saillie en
dessous de la masse buccale (fi g. 12, 13,
l );
les lame ·
cornées don t il est composé, different aussi un pen
par leur forme et par leur disposition (fig. 1
!,.,
'15,
16).
L'ccsophage n 'offre plus ni crecums, ni renflement, et
on calibre est uniforme dans
toute son étendue
(fig. 11,
r! ) .
Enfin, nous indiquerons une derniere
différence
d~ns
le nombre des gangl ions
iscéraux du
collier nerveux, lesquels sont au nombre de trois, un
du coté droit et deux du c6t ' gauche (fig . 19).
La coquille des Littoridines est ovale-conique, mince ,
a
tours convexes, recouverte d 'un épiderme verdatre
et quelquefois d ' un enduit noiratre; l'ouverture est
ovale-arrondie, aoguleuse au sommet,
a
bords sim–
ples
t réunis. -
Ces
carac~eres
rapprochent tout
a
fait la coquille des Littoridines de celle de Paludines ;
mais l'opercule des Littoridines est touj ours corné,
mince et paucispiré , comme dans les Littorines.
Les Liltoridines vi ent sur les bords des eaux douces
ou saumatres,
a
la maniere des Littorines; on peut
les consiclérer comme formant une trausition natm·elle
entre celles-ci et les Paludin s. L'espece que nous
n ons étudiée est o ipare (1).
(1) Le genre que nous propo ons ici nou paralt avoir de grand