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l\IOLLUSQUES .
sont beaucoup rnoins olumineu:.\. et ne sont plus dis–
posés d ' une maniere aussi parfaitement s rnétrique .
Deu x de ces ganglions son
t
latéraux ; le troisi eme e L
inférieur et médian. Des commissurés tres-courtes
les unissent entre eux et aux deux paire de ganglions
précédemrnent d écrits;
les nerfs qui
en parten t
paraissent se rendre exclusivement aux organes de la
respiration, a ceux de la génération e t aux autres
t -
ceres .
Les Él s1 e
sont pour ues d 'yeux qui ont situés,
comme nous l'a on s déja dit, en arriere des tenta–
cules. Ces organes ont forni és par un e cap ' ul e tran -
parenl e dans laquelle on di Lingue un cristallin sphé–
rique, comme enchússé dans une p etite masse de
pigment noiratre qui se tron e en arr iere, et dans
laquelle on voiL pénétrer le n rf optique .
Les Él sie ont aussi un appareil auditif rudimen –
taire , semblabl e
a
elui qu e nous a ons déja d écrit
dans d'autres Mollusques.
Nous r envoyons, pour les rn reurs et les habitude
des Élysies, au mérnoire que nous a ons publié sur
cesMollusques t que nous a ons déja cité . Nous avon
aussi traité, dans ce lra a il , des esp ' ces qui ompo–
sent ce genre; celle , sur laquell e nous a ons "Ut'Lout
fait nos re herches , est
l'É' /ysie
1Jerte
( E.
1
1
iridis ),
qui e t as ez cornmune dans qu elques poinls de Ja
Méd iterran ée .
Le zoo1ogi te on
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