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MOLL SQUES .
Dimensions :
Longueur totale. . . . . . . . . . . . . Enviran
tí
millimelres.
Nous avons recueilli en meme temps deux individu
parfaitement semblables du petit éphalopode que
nous venons de décrire; les
caracter~s
ingulier qu 'il
présente ne peuvent done etre regard 's comme te–
nant a une anomalie. M. de B]ainville, qui avait bien
voulu l'examiner avec soin, était porté a expliquer
l'absence de la quatrieme paire de bras par l'age tres–
peu avancé de l'animal, et, par suite de cette maniere
de oir, il pensait qu'il fa11ait considérer l'appendice
impair et médian qui est situé en dessou de la t •te ,
comme un re te de la vésicule omhilioale. Mais, d 'apr ' s
toutes les observations faite jusqu ' a présent ur le
développement des Céphalopodes, l'on ait que les
bras se montrent e tres-bonne beure chez ce dernier
et sont déja tres-apparent , m ·me dans 1' uf, ce qui
ne permet done guere d admettre, pour ceux de ce
appendic. ~s
qui manquent dan l'animal que nous fai–
sons ici connaitre,
l'
explication que nou en n de rap–
porter. ous ne ero on pas aus i que l'on puis con-
idérer l'appendice particulier qui occupe la partie
médiane et inférieur de la tete: e rnme Je p 'di ul
de la é i u] ombiJical , car cet appendic nou a
paru •tre ntierement muscul eux, et on in ertion a
la tete se fait plu en aniere qu celui de la é
i
ul
ombili ale . Dan t u 1 cas, le petit '1hal op d
dont il e
t
ici que ti n
di Lin ouerai en re d ' un