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MOLLUSQUES .
se trouver
a
la partie inférieure , comrne dan les
Hyales et les Cléodores, est placé en dessus, comme
dans les Gastéropodes peclinibranches ou pulmonés,
par suite de l'enroulement de l'animal autour de son
axe ( pl. 11, fig. 13, 1
L,.,
15) .
Le bord antérieur du manteau offre presque toujours
un prolongement qui correspond
a
un prolongement
semblable de la coquille et qui rappelle un peu par sa
disposition, dans quelques especes! le siphon respira–
toire des Gastéropodes siphonobranches. Ce bord du
manteau est libre en dessus et sur les c6 tés, pour for–
mer l'ouverture de la cavilé branchiale, et n 'adbere
~t .
!'animal que par sa partie inférieure. ll est recouvert
de cils vibratiles comme dans les Hyales , les Cléo–
dores, etc.
Description ,;ntérieure.
L'analogie que nous venons de signaler entre les
Spiriales et les genres précédents, sous le rapport des
caracteres extérieurs, se retrouve dans tous les trait
de leur organisation intérieure .
Organes de la digestion.
-
La bouche est inférieure
et bordée sur les c6tés par deux Ievres saillantes; la ca–
vilé buccale, peu considérable, présente aussi inférieu–
rement un petit renflement lingual. La petitesse ex–
treme de ces Mollusques ne nous a pas permis de
consta ter d'une maniere positive l'existence des glan–
des salivaires; cependant nous croyons avoir vu deux
petits grains glanduleux ernblables
a
eu que nous