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ERT l SS EIVIENT.
remarqu ent dans
on li vre qu elque
in<lica ti on
uti~ es
a
leur point de vue , il s'en r éjouira sans
s'en attribuer le mérite, ca r ,
ne
venant pas de lui ,
elles s'y trouveront presque
a
son insu.
Faut-il conclure ele ce t aveu que rouvr age sera
compl étement inutil e? Peut-etre no n , .s'il est assez
intéressant pour qu 'on le li se avec pl aisi1·; ca r alors
les gens du monde'
a
qui il es t pri ncipalement
destiné, y puise ront des notions qu'i l est bon de
r épandre.
La vie maritime réell e es t peu connue. Des au–
teurs pl eins de mérite ont , il est vrai , ex ploité
avec succes cette
mine
féconde; mais ce sont p1u–
t6t des romanciers que des hi storiens , et chez eux
la poési e a quelquefoi s pu nu ir
a
la vé rité. D'au–
tres, plus ri goureusement vrais , en fa isant de
l'histoire, ont parl é au publi c un langage qui
n 'était pas toujours
a
sa portée.
Placé entre ces derni ers et les per onnes vivant
dans le monde, l'auteur a cherché
a
se r endre
!'interprete des uns an profit des aut res, en éla ..:.
guant d'ailleurs de sa traduction tout ce qu'il a
cru inutile, et en aya nt soi n , par ce rnotif , d 'a–
br éger des déta il
technique
qu i auraient pu