Y .• SUITE
DU VOYAGE.
Le
L.16pi111h
420 '
EXAMEN DES DÉCOUVERTES
d'abord que, puisqu'elle est !res-basse, on devoit en
~tre
a
une tres-petite distance quand on l'aper\Ut : et comme
le
danger ou s'étoit trouvé
le-
THIENHOVEN
sur l'ile
AURORE,
avoit díl consumer un -certain temps pour s'en
dégager ; on peat présumer que fes · Vai.sseaux étoient
en-eore~fort
pres de celle-ci quand on
fit
la découverte
de
lá
' seconde : on pourroit done fixer , par approxi–
mation , le'ur différence de M éridien
a
2
5 ou
2
6 mi–
nutes' -et placer V
Es
p
E R
sur le meme Parallele que
l'
A u
Ro RE '
et sa Cote Orientale'
a
1
5o degrés de
Longitude.
Les Cartes
0
N C 0 N TI N
'U
A
de •cingler
a
l'Ouest, entre le
15
.me
et le
16.mcParallele; et, le jour suivant, on
aper\ut
tout
ncoup
une nouvelle Terre : les fomée>
qui s'élevoient de divers endroits, annon'\oient qu'elle
étoit habitée, et l'on for'\a de voiles pour la recon–
noitre.
«
A mesure que nous en approchames , dit
BE H
RE Ns,
r\ous vlmes un grand nombre de Canots
naviguant le long des Cotes, et nous ne doutames pas
que le pays ne
fíh
bien peupl é. En approchant de plus
pres encore, bous reconnílnies que c'est
un amas
dr:,