ET CURJEUSES.
Ij3
~ur-tout
les
Fran<tais
qu' on
avait d
'ja
tran -
ortés dans
l'lle
~
a
la
vue
d un ai au
a
l
ancre
avec
pavillon
1 lanc,
se
hat
raient
]~
venir
nous voir,
et d
nous
apporter
1
s
pro–
vi
ions
d nt nous e mm n
ion
a maoq
1
r ..
P
rsonne
neparut.
O
o atteu
lit
qu
lqu jours
pour leur
don r 1
temp le non
r
connal–
tr : ce fut inutil ment. Enfin 1' n en
a
d ans le
canot
un
Officier pou
r s'
i
o
rmer
de
l''tatdeschos
s.
Il
rapportaqu'apr s a\oir
parcouru tous
les
enviran flu Port, il n
avait
vu p r onne et qu
il
n avait d 'e
U\
ert
que
]os
r
s
d
quelques
méluvais
ca
s, dan
l'une
d qu ll
sil
avait trouv'
l
en r
eh aud , d .s
halles
de
mousquets ,
et
s
mor
:=tox
d habits de
Soldats
Europ
'ens,
qui
ne
p
uvai
ntetre que d s ran
.ais.
Le
Dl c
1-
h
ur qui arriva aux Ang1ais dans e tte Ile
i
1
y
r1
in~
t
a
n , no
us vin
t
d, ah
o
l
d '
1
sp
r
i
t ,
et
p1usieurs
crurent
que
nos 5
ns
avaient
eu
le m
me sort.
d
si
tristes no u\ ell s on
ouvrit
le pa–
qu
t
s r
t
d
la
Con1
p:-~unie
;
on
y
trouva
1 rur derleverunvai au,qu l'ondiait
A t1
lans
le
port de P
ulo-
ondore,
d'y
de–
mur
rj
squal'arriv '
clunautr
navir
ui
d vait venir l'ann' suivant ,
et
1'au ; 1 u–
l
r, autant qu'il s
t
it
possibl , l 'tabli s -
ment
que l' n prét
ndait
tre
l
'ja
comm
ncé
dans l le. On écu
la
e
t
ordr auta n
t
qu' on
le
pouvait
faire. Ce nc fut pa
sans
ha rin,
qu'apr s
avoir
fait plus de six mill 11 u s
pour tnc r ndre a
l·l
l1ine ,
l nt
j
n'
't
is
éloi
0
n' que de 3oo lieues,
j
m vis obli
0
é
TI