71 2.
S
branche
a
pleine-croix
repr~fencée
eo
él~vacion
par
la
fig.
~1..
r
L3
Á"·
!.3
repréfen re une cié forée l
~u,eau
quar-
der nné
A
fe
ju
percé .J'u •1 croo . tolange, quel–
quefois e u
cri.¡n~Tle,
ca:u r , rreilc, p1que, o u
aur~e
for
1e
que l'on jul!e ª- pro 1 o - ,
pon~n r
pour
go~rm
t ure
deux
rouecs Gmple
B
B ;
trOIS aunes
ee
q.
)' un avec pleine-croi'<,
&
le
:le_ux aurres .chacun uo
fQ r
e vilebrequin
reprefel)r~
en
éléva r~on
par la
ftgLa
1
ft·~.
1
s-
renréfenre une cid en eRe
for~e
a
mu–
feau
qu~ rr~
A
fendu, done trois inrer vªl les de denrs
1
bour ns, p nan r pour gJ ro irure une bou rer<?l.e arée
B
&
un rouer
e
avec f Or
d~
vil breq,ui n . bonlonral,
3
ant une br.111 he
a
do uble
pleme·CfOI~, don~. Ul~
cOré couJé
&
l'.¡urre limpie; l'autre pleme-croPc
!1
b rancile coudée
d'un
cóté
&
de
l' amre
a
deu x bran–
ehe
re pré(en cé en élévati on
p
r lajig .
16.
La
fiz.
1-7
rep ré lenre un cié en
z;
etl ouaurrc: for–
m e fur¿e a mufea u q_uu ré
4
fendu,
do.nrc,!eux mrer–
,alles
d~
den es atés '
&
percés fur
ra . longueur d'un
trou oval poQr le paflag.e q' une petlte broche de
in
Eme forme pl.tcée
a
J'encrée de la
ft"rrure, por–
T:anr pour ga rnirure
ll"
rque r limpie
B,
UJ1e bou·
trole
e
avec
ffir
d~:
;vilel;lrequin,
&
rouer
D
avec
pleine-.c'roix
&
fOc Je viJebr_equin enrier d.'un c6ré,
&
¡¡
demi de l'au cre ,
repr4f en~é ~n ~léy.at1on
par
IIJ
fig-.
18.
.
-
pu
clés
~
boutB1fS.
La
fiz.
19
PI.
X
1
V.
repréfente
une
ci é
a
bouron a mufeau quarré
A
&
fel)dU poqr
le pafl age des J en rs de rareaq, gan}le cj'uoe eve
B,
pour e¡npecher
lit
cié d¡? paCJ'er au-rr.lvers de la fe·r .
rore ,
port~llt
pour
garoir~r!! deu~
rouets limpies
(:e'
un double
D
ll)OOté fu( planche'
&
un rond
1!.
\'res de 1¡¡ tige de la cié, aulli monté fur planche
r~·
préfenré en élévacion par la
fig.
30.
La
fi_r .
31
repréf~nr~
une cié a bouton a
ml!f~a,u
q .uarré
A
&
f~ndu
,
garnie d'eve
B,
porcant pour
garniture deux rouecs limpies
e e
&
un l•)fange
D
·plOilté fur
pl~nche, repr~fencé
e9
~I~vatjon
par
la
fig.
12·
'
.
1
La
ñg.
H·
repréfeqr~
une c;lé
a
bQUton
a
mufe!)U
quarré
'1
&:
fendu, garnie d'eve
~,
porranr pour
2arnirure denx rouers
limpies
e e,
un double
D
.111011té [ur planche,
&
un crejie
E
llllfli
mont~ f~r
planche, repréfenré en
~lévarior¡
par la
fi.r.
34·
La
.fif!·
H
rep:-éf~nre
une
dé
a
hou~on
a
mul~au
qu:••
r
·. A
&
fendu
1
garnie d'eve
B,
porranr pour
garnicur~
deux rouets
coud é~
e e'
UA
lfouble
D
ac–
compagné d'un rond monté Cur plaJlche ,
&
un an–
tre
E
aufTi dóub le
a
congé,
~ccompagflé
d'on oval
m onré ro·r qu • ré, ·tous deux
'01qncés
fqr plar¡cqe ,
repr~l"enrés
el élevacion·
r.arla
fig :
j8.
. La
fi~·
39
repréfenre
une dé
a
bOUCOfl a
mufe~u
a
(:ongé
&
filet
A
feodn, garni d'eve
~
, pprcanr no ur
garnicure deux roners ·timples
e e,
deux aurres
D D,
porra.ntdémi-croix d' une pleine-croilt
E
'montée. fur
plancheen ·croix de
S.
André,
&
d'un lofange
F
a
angles aigos, aufli
n!o~cé·
f¡u
P,lanche, repréfenté en
~l~varinn
par la
fig .
40.
'
•
La
fig,
.,..~,
repréfen re une
dé
a
boutqn
a
mufeau
i.
cougé
~
fil e r
A
fendu , garnis d'eve, portanr pour
g arn iéure deux róuets en fond-de-cuve coudée
e
e.
lJil
double
n
en
argo~
mon{é fur planche,
&
ún
E
d'alph.aber
1}
auffi
'mQnté fq¡ planche , repréfeúré e
o ·
~lévatJon
par la
fig.
42.
·
La
fig .
43
repréfence une el
é
a
QOU~qn
a
Oll!fean
'
con~~
&
filet
A
fendu, dour deux
infervalles de
denrs arés gúnis .
d'ev~
B,
portanr pour garnirure
deux rouers fimpte s
C C,
Jeme en ; grec
DD.,
une
croix de chevalier
E
aécompagnée J'uq' ctlré
de
con–
g~, ~
de !'aurre, q'u n boucq n, montés
enfern~le
' fur pfanche,
&
deux rouers doubles
JI'
F
ceintrés
&
fe joignanr
C\1
form~ d'an~eau
;' \nontés
1\Uffi
fur
pl~~:
che, repré[enté en eltvar1on
p~r
la
jig.
.,...,...
·
La
fig
4)
repr~ienre
l'élévarion,
&
la
fig.
46
le
profil
d'~n ~andrin
oq
111oule Ccrvanr
~
contoorner
une garnnure
A,
fig.
46,
difpo(ée en fdt de vileure–
guin ; pour
·r
parvenir .'. ?n fe
f~rc
d'une plaque de
fer
B
fendue dans le m1!1eu en deux
en~roirs
ec.
&
1)
o.
a-era
ver~
laquelle
011
palll
les
(J'eu~
bninches
•
P.
E
de la ga rnirure,
fig.
~6,
apres les avoir déja cou–
dées une fois de chaque c8ré pour les . recouder en·–
{uite érant en place; apres quoi l'o'g fait rougir te too(
enfe~ble
pour le
concourn.er&
arroodir
a
fon gré
;.
~n~u1te o~
cou pe
le ma~dnnB,
qui ne peyt fervir
qu une f01s pour en remer la aarnirure
&
la pofer
~a.~s
la
ferr~~~ a~ li.e~ q~i ~~~
e.(l
pxop.re~
'
. .
L~
fit·
.,..
repréfenre l'élévarion,
&
la
fig.
4! le
profil d'un rnandrin employé au
m~me
ufage que 1
précédenr, mais pour une garnirore d'une aune
et:.
pece , fJifanc parcie de cell e de la
fig .
1.8,
e
mpo fé
de
croi~
morcea ux
A B
&
e ,
qui pour pouvoir
~rr
c.onrou rnés
a
chaud.
00[
belQin
~e
deux virotes ou
liens
D D
nour les concenir eofemble.
La
fig.
48.
repréfence l'élévarion d'vn aurre man–
drin,
&
la
fig.
49·
le profil employé pour une gar-
1\Í[Ure en elle, faifan r parrie de l'e lle de la
fig.
10.
compo le d'uoe broche double couclee en
.4
lur elle–
mc!me, done les deux aucres bonrs lont retenus en–
femble par une
vi
rol e
B
ri vée ; c'ell aurour de cerre
broche qu_e l'on concourne la garnirure en eíle
e ,
pour arro n.Jir enfoite le
Ut enfemble
a
haud.
.La
fig
~o. r eprél~nre
e
d
{velopp<!ment du rrctle,
f;Ji fanr
partl e de 1.1 garni rure de
la
planche ,
fig.
}4·
&
la
fig.
)
1.
celui· de la croix de chevalier, fai!ant
parcie de
13
garniture de la planche,
fjg .
H·
t els qu'oo
les fa ir av3or que de
l es
contuurner, felon la place
qu• ·ts doivent occuper, ainfi que toures les aucres
fo!'mes qqe l'on juge
~ p~opos
d'employer
a
cet
)..Jiag_e .
Des áiffertntts ifpecu de firruru.
Les ferru re.s
!>-'emplolenr índilféremment
a
routes forres de
pone~
croifees, armoires,
&c.
&
rour ce qui peut fervir
u
fermer, ferrer,
&
tenir ea lilreté rouc ce que l'on
poOede,
&
rn~me
de plus préci.eux: il .en efl: de qua–
er e
ef~eces
· différenres ;
la premiere qu'oo appelle
firr!lres f/e portes,
fo
n.t celles que l'oll place aux
pon
s,
il en ell depuis
de.uxpom·es jufqu'a douze
&
quinze poqces de
long
u~ur,
qui lonr alors pour les
portes-cocheres.; )a deuxjeme que l'on app elle
fir–
rures tf'.11rmpires,
fonc celles que l'on place au1 ar–
mo ires, qui porte11t depuis deuJ pouces jufq u'a fcp.t
~
hu it pouces
de
longueur; la
rroifieme
qu~on
;tp·
~elle
Jerruru tle tir.otr:s,
fqnr celle> que l'on place
aux cir01rs,
&
qu1 porrent aufTi depuis deux pouces
julqÚ'a fep,r
a
huir pouces de longu eur
j
~
la qua–
trieme , qo' on
~ppelle
.ferr11ru
t{e
coffres,
loor celles
!JUe l' on placé a9x cotfres , qu1 portent depuis troi.s
pouces jufqu'i dix
~
douze pouces de longueur: leJ
unes
&
les aurres font
a
broche,
ltén~rdes, ~~~
elle,
zede,
&c.
On
les appelle
a
broche,
lorlq~?en df~t
elles purrenc une broche qu1
enrn:
daos la tige de l¡l
~lé
forée:
un
les app,elle
bél?artlu,
lorfque ne por–
ranr· point de broches, la rige de la cié au-lieu
d'~~ ·
ere forée porte un perir bouton;
&
en
,tJ!i,
zeti ,
&c.
lorfque le pannetql) de l¡1
cJé forme l' e(fe,
1 ~
~eJ,
(te .
D!s fhrtJU's
de porte.
Les ferrures
de
portes fe
~iviteur
en íix efpeces; la prerniere ell appellée
q
four
&
defl!i
,
paree qu' il
faur que la
cié
f¡tfle
llll
tour
&
denü
pour l'ouvrir; la feconde ell appe11ée
pene t(orma11t ,
paree que le
p~ne
demenre
&
dore
pour-aint1 -dirc ,
dans
l'eodroit ou la
cié
fe place,
d1fférenr de celui de la précédente ferl'ure, en ce que
le rellorr
a
boudin le repoulle roujours; la troilieme
eíl
appell~e
•
plne
tlorm~n(
&.
tlemi tou.:,
paree qu'a
ce
p~ne
dormJnt efl' j()int
un
aurre
p~ne
ou la
el~
o~
fa ir qu'un demi -rour pour l'ouvrir; la qudrrieme
appe\lée
~
phte
fot~rdm,
f:i
tle111i·tot~r,
ne differe
de
la précédeure
q\)~
paree que le
p~ne
dormant ell ;.
deux
branch~~,
fwmant la
fourche donr il rir'e
Ion
no
m; la .cinquieme appellée
J
pene
(o11rc~u
demi-tour ,
&
~
jeut[let,
ou
~
bou,to1J
o/iw,
paree que fembla–
ble autfi
~
cette deroiere, le
p~ne
demi·tour s'ou–
l(re par le moyen d'un houcon de forme olive, ou
par !)n fouillor mu par le
m~me
bouron; la lixieme
app~ll~e
4
pln~four.chtl
t!m¡i-tour
4
feui/le(
&
a
ver..
rotii(S',
· etl
lorlqu · ~
couces les pieces done la précé–
dence
ell
compolee; on
y
ajqur~
une efpece de pc!ne
forAlaf\t verrquils; les uoet
&
les
au~re~
foot naires ,
poullée.s ou
blan~hies
&
pQiies:
les ferrptes noi res ·
font ainq appellées
par~e
qu'érant de peu de confé·
quence, le
de~us
du palatre,
amfi
que celu.i de la
cloifon en e!l noirci , ce gui íe fait au feu avec de
1~
corne de. b,a:uf
i
les pou!lées ou bla'lchies font
celles qui écant d'un peu 1\lus grande conféquence.
le:
f!l~~e
de(fus de palarre
&
de cloifon efl: pouCJ'é
&
blancpi
a
la lim.e d' Alleq¡agne, ainfi qut: !es princi–
pales pieces de l'iotérieur de la ferrure, ce qui e!t
un peu ph1s P.ropre que les
précédente~.
(-es íer–
rures polies qui font o.rdioairemenr faites avec fo i11
&
íolidité, font eelles done les m!mes palatres
&
cloifons, apres avoir écé
poull~s
&
blanchis, fo nc
polis a
la lime do uce
a
l'bu ile.
&
quelqqefois
~
la
pdoré
1
~ d'é!ll.e~ il , ~e m~q~.e q~e. I~s p~h~.cip~I~~
piLecc;s.
e
'mténeur .
'
a
...