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EN AUTRICHE.
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les
mines les plus riches et les plus abondantes.,_
On
les remarque princ i1:32.Iement
a
Graupen ,
Niclasberg ainsi qu'a Klos tergrab; les m ontagnes
de Kuttenberg en sont entierement composé es,.
Les roches de gneiss s'étendent ensuite de Katha-,
rinaberg a Kommotau,
et
de Presnitz jusqu'a
J
oachimsthal , et, par conséquent, depuis le
cercle de Leutmeritz jusqu'a Ellbogen, et meme
dans les environs d'Eger.
On
les,voit encore re-–
paroitre a Kolin, dans le cercle de Kaurczim , .
ainsi qu'a Politschka dans celui de Chrudin,
a
Ratisborsitz, dans celui de Tabor , et enfin
a
Eiliz
et
a Czernusek, daus
le
cercle de Leutme–
ritz.
Une
portian considérable des monts
Su–
detes et des monts
Boehmerwald,
sont encore
formés par diverses modifications des roches de
gne1ss.
N
ous avons
déja
d.ítque les
gneíss renfermoient
différentes mines.
On
doit surtout citer celleS'
d'étain
de
Schlackenwald, et _celles d'argent de–
Presnitz et de Katharinenberg. Les filons d'étain
y
sont moins riches et moins continus que dans
le granit. Les gangues de l'étain sont, principale–
ment la chatlX carbonatée , quelquefois la
baryte·
sulfatée, le quartz ou diverses variétés d'h.orn–
stein. Rarement le gneiss. forme-t-il lui-meme .
la gangne des
méta'ux
qui s'y trouvent.
Il
en
est
ccpendant
ainsi
a
P.rc.snitz, et m eme dans les
miues d e fer
d·orp es.