DE LA BONITE.
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bien cette disposition d'esprit ne doit-elle pas exister
surtout chez les étrangers qui se sont fixés dans les iles
Sandwich encore
a
demi sauvages
!
Je n'ai pas l'intention de raconter en détail toutes les
politesses auxquelles M. Vaillant et ses compagnons de
o age eurent
a
répondre; il me suffira de dire que,
pendant leur séjour
a
Honolulu, tous les instants qu 'on
pou ait dérober aux travaux de la mission se passerent
en fetes, tantót chez l'un , tantót chez l' autre des négo–
ciants r ésidents.
Les relations suivies et bientót assez intimes qui en
furent la conséquence' ne pou aient que tourner
a
l'a–
antage de l'expédition. Elles devinrent la source d' une
foule de renseignements intéressants, dont quelques-un
L1·ou eront leur place dans cet ouvrage.
Grande rumew· parmi les saints.
Peu s'en fallut cependant que la mal eillance n 'y
trouvat
l'
occasion de crier au scandale. Les plaisirs ne
pouvaient etre bien
ariés dans la petite société ou nos
compatriotes étaient re<;ms, et qui, pour se réunir daos
de maisons différentes, n'en restait pas moins toujours
la meme. La musiqu f:l en faisait tous
}e
frais ; on ne
jouait pas , on cau ait peu ,
fa
ute de parler la meme lan-
u .
a
peine put-on une ou deu
fois danser une con–
tredan
. Et pourtant, le zél 's mi sionnaire , sous qm
Lout
ploi dans Je
Pª.
s, trou erent
a
redire.
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