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fente,
en
divers climats, la Nature .humaine , fans
cúlture
&
fans civilifation ; mai il ne néglige pas
la-def
criptio n
des pays,
des montagnes , des
ri vieres,
des produébons, des
anirn1nx,
&
la Géog
aphie;
il
a
fait fur - tour u ne Carte inréreífante du Mom–
Liban
&
des
Pays
v'oifins qu'il a parcourus ,
&
ou
il
a h ab ité.
Le Cecond Voyage , dont
l'
Autc:ur offre
al'
Aca..
démie une
~elacion
tres - déraillée ,
efr celui des
T erres
~.uíl:rales
, fur lequel M. D . gelet lui
avoit
·déja
préfenré diverfes
~·bf
ervation aíl:ronomiques;
·M.
DE
PAGES
en
dorme une
r
htion complerre,
avec
~ une
Cane des Iíl es qui fu rem rcconn ues
a
cinquanre degrés de };ui .ude ,,
&
di ve rfes obferva–
tions des longitudes de
la
chaleur ,
&
du poids de
l'eau de lamer,
qu'il a
exami¡,é
a
dífférens
pa!ages.
Son (éjour parmi les Hottentots
&
les Malgaches,
Íui
fi
urnir des obfervarion fur les Na urelsdu pays;
mais il
y
en a
.beaucoup
a
ffi
fur
le
an1maux ,
fqr'
les pr oduél:i ons ',
&
[
ur la maniere
d
ne o
1
devoír
s'y
prendrc
p
ur
fonner des erabliffemens miles
fan la
grande
&
helle Iíle de a
1g
Ccar,
&
for le r
/
gime
d om on a
befoin
pour confe rver
la fanré des
eqm–
p ages dans des clirnats
1pal
C1íns~
·
Le
troi fiem e Voyage, qui ·éroir le
plu
reburant
&
le plus défogréable , efr celoi de lá m r GL ciálct ;
uné
navigJ.rion de plm de trnis
cent
lieues parnü
l es glaces'
fo unir
a
M.
D E
PAGES
beaucoup 'ob–
ferv ,nions cuti
uf
es; la
confrance
élév~t~on
duba–
rometre
>
la
deL-¿ription des
baleines
&
de~
leur