t:T CURIEUSES .
201) ,
un gnmcl nombre
de · Bapti:~mes
el'
enfans mo–
rib ouds.
J'
ai été bien consolé et édiGé des
aumo–
tH's de
M.
ct
de M
n.dame Dupleix et du res te,
tle
la Colon
ic
Frall~aise
de
Pondichery .
J
e
nc
doutc pas que ce ne soit cela qui ait al–
tiré la Protectlon
v
isih] e
de
Dicu sur Pondi–
chery
et
sur tous les établissemens
Fran~a i s
dans l 'Iode; cnr, jusqu'a préscnt, mal gré
l es forces fonnidnhl es de nos ennemis, nous
n'avons pas pf'rdu un pouce de terre dans
tous nos établis emens , quoique l es Mores
se soient joints aux Anglais contre nous. Nous
é\YOI1S Cll
meme le bonheur de les ])attrc par–
t ou t. Apres que nous e-lunes pris Madras et
m am u:. Goudelour
:J
ils ont
ét'
obli gés de
rester avee lo u tes leurs forces dcvant Gou–
dclour pour le fortificr.
Ensui te l' Amiral Rosca-ren arriva
:J
avec
son escadrc de vingt-drux o u vingt-trois voi–
l rs , aux !les de
F'l'an c~,
ou 11 n'eut aucun
succ<~s
i
de la il vint se
joindre
h
Coiffin
pour
a ·siéger Pondiche ry p ar
t " fl'C
el par mer. ·Ce
si(~gc
e mmenra le
18
ou
22
A
out : il a d l1ré
ju sqn'au
17
Octobrc
1743 .
S i
mil1c
Enro–
preos,
<'t
au tant de
soldats clu Pays,
tan t
r
J
ores
qn' a u tres' a s1égea ieu
t
ptlr
l
rrc'
tal
~
d1s que les vaisseaux Anglais attaquai nt par
mcr.
Ils 1cverc nt le siége apr' s avoie
perclu
en iron mille q uatre en homm es , tués ou
morts de
m~
la die , ou fai ls prisonni ers.
lls
ont tiré environ quatre
mille
ho¡nbe
, et