ET CURlEUSES,
.
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de deux mois , m'a procuré pour cela plus
de loisir que
je
n'aurais voul·u. Cependant,
comme c'est
au
bmit du canon et au milie'u
des alarmes de
la
guerre que ces observations
ont été rassemhlées , }'espere qu'on aura pour
, elles -quelque indulgence dans
le
jugrment
qu'on en portera. Je suis, dans l'union de
vos saiuts sacrifices, etc.
EXTRAI'l,
D'une Lettre
·
d~t
Pere Possev,:n au Pere
d'lrlande.
A Chandernagor , dans le B engale
~
le
11
Janvier 1749.
LA
Providencc m'a envoyé au Benga1c en
17L¡7 , remplacer
Je
Pere
Lalou, qui
y
mou–
rut l e
o
Septembre
1746.
La vi e
y
est a-peu–
pres comme en Europe.
JI
y
a
du
travail et
peu de
fruit, le débordement des mocurs
y
étanl
~~ onsidérable
comme dans les aulres
Colonit 'S des cotes' plus meme ici qu'a Pon–
di chery;
¡;arce que le Pays est hon
:~
plus
commerc:ant, qu'on
y
est rn oins
m<'llre
qu'a
Pondi chery,
et
qu'i1
y
a mcl ange
d<'
toutes.
N il li ons, et voisinage d' Anghis et de Hol–
bncbis. Cepend.ant,
a
la fa ve
uf'
d'un Hopi–
tal
de p ::¡ uvres et cl'orphelins, que
le
Pere
rvlosac,
notre Supérieur ,
batit en
1
¡44
ou